Enquête publique pour le projet industriel EMME d'unité de conversion de nickel et de cobalt pour la mobilité électrique

Liste des observations
N° 177 : 22 decembre 2025 - 07:56
Auteur : Jean-Luc Saint-Marc
Son avis : Défavorable
Je suis totalement opposé à pareille installation industrielle à un si défavorable taux de dangerosité, méprisant au plus haut point l'espace naturel de la vie d'un fleuve et la qualité de vie des riverains sur deux départements.
Merci de m'avoir lu.
N° 176 : 22 decembre 2025 - 01:14
Auteur : Françoise Sourbé
Son avis : Favorable
1- Pour avoir assisté et ce, sans a priori à la TOTALITE des initiatives proposées par les porteurs du projet EMME, lors des deux récentes concertations ( préalable et continue) , on ne peut qu'être favorable voire très favorable à ce projet. En effet :

2- Cette usine est indispensable car elle permet de participer à la réduction de l'émission des gaz à effet de serre, à la réduction du réchauffement climatique.
Et, tout en permettant la création de nombreux emplois, elle nous permet de reconquérir notre souveraineté industrielle et peut-être par là, la possibilité de maintenir notre vécu, ici, dans un monde de paix. Ces quatre critères font de cette usine, une usine d'intérêt général.

Parce qu'il s'agit de revivifier économiquement notre territoire, cette usine est d'autant plus indispensable qu'il s'agit d'une usine verte et d'un projet extrêmement cadré, enchâssé dans une réglementation particulièrement pointue et sévère en termes de sécurité.

Cette usine est indispensable, non seulement parce qu'elle répond à l'intérêt général ET à l'intérêt particulier local pour la collectivité ( à l'image de Ford lors de son installation à Blanquefort) mais aussi parce qu'elle nous fournirait , indirectement des réponses à certains de nos besoins : celui du bien être , des besoins fondamentaux comme celui de la santé, des loisirs etc. ( propositions détaillées et émises notamment lors de la réunion de clôture ( le 12 mai) de la concertation préalable: cf. pages 10 et suivantes du compte rendu de celle-ci) .

3- En matière de sécurité, comment ne pas être rassurés quand les porteurs d'un projet d'usine font appel à des SCIENTIFIQUES, des chercheurs et pour certains, professeurs d'universités, des scientifiques qui abordent tant de sujets relatifs au projet, qu'il s'agisse de scientifiques dépendant d'organismes d'état, d'organismes indépendants comme le C.N.R.S., le C.E.A., le B.R.G.M., l'A.D.E.M.E., etc...plus tous les cabinets de conseils ( y compris étrangers), ayant largement fait leurs preuves.?

4- Si le sujet le plus débattu a été, effectivement, celui des inondations, la plupart des propos abordaient ce sujet, stricto sensu; mais cela n'est-il pas "l'arbre qui cache la forêt"? En effet, ce qui semble poser problème , c'est, au delà des inondations en soi, l'augmentation, de nos jours, de la fréquence, de la densité, de la puissance de celles-ci. Or, il est reconnu par des spécialistes que ces types d'augmentations sont des conséquences du réchauffement climatique. De plus, l'usine EMME, située en ''fond ''d'estuaire et entourée de zones ''bassines'' à effet bassins de rétention , n'est pas sujet à ce phénomène des inondations. Simulations à l'appui.

5- Aujourd'hui, la transition écologique est une impérieuse nécessité. L'urgence est là. Planifier ou subir le changement climatique, voilà le carrefour auquel est arrivée l'Humanité. Or l'usine EMME répond à cette prise en compte de ce réchauffement climatique, notamment en termes de production, de recyclage des batteries usagées, de laboratoire scientifique de recherche en sciences des métaux et en génie du procédé. Egalement par sa gestion logistique ( utilisation du fleuve en matière de mobilités. Par la protection des ressources en eau. Etc. )

6- Le travail du GIEC, fondé sur l'apport de scientifiques du monde entier, nous alerte sur la gravité des conséquences de ce changement , permettant d'affirmer qu'une transformation radicale peut préserver l'habitabilité de la Terre et être bénéfique à toutes et à tous.
La maîtrise de notre pays par la fabrication de batteries électriques et la transformation des matériaux qui les composent est un enjeu de grande importance.
Sans industries sur notre sol, nous sommes obligés d'importer des produits venus de l'autre bout du monde.
Créer, relancer des usines est indispensable. C'est autant de traces de kérosène en moins dans le ciel et de porte- containers ne traversant plus les océans.

7- De plus, l'outil industriel français, du fait, notamment, de son accès à une électricité nucléaire décarbonée, est parmi les moins émetteurs de gaz à effet de serre ( sans même compter le transport, produire une tonne d'acier "électrique" français pollue 9 fois moins qu'une tonne d'acier allemand et 12 fois moins qu'une tonne d'acier chinois)
L'INDUSTRIE française est un atout majeur dans la lutte pour préserver la NATURE. Et l'usine EMME en est bien l'exemple. A plus d'un titre. Usine indispensable.
N° 175 : 21 decembre 2025 - 23:38
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
C'est une hérésie,je ne cautionne absolument pas ce projet.
N° 174 : 21 decembre 2025 - 19:45
Auteur : Michel NICOL
Son avis : Défavorable
Pas d'usine Sévéso ni à Bordeaux ni ailleurs
N° 173 : 21 decembre 2025 - 19:11
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Je ne souhaite pas vivre auprès de produits toxiques ni laisser aux générations futures une terre poubelle.
N° 172 : 21 decembre 2025 - 18:48
Auteur : Leba Condon
Son avis : Défavorable
Défavorable parce que polluant, déstructeur du vivant
N° 171 : 21 decembre 2025 - 18:44
Auteur : Jef Portillo
Son avis : Défavorable
Projet impactant pour l'environnement compte tenu du risque de pollution chimique, prévu sur une zone inondable....et à proximité de zones habitées... quelle plue value pour pour les habitants, quel avenir pour nos enfants ? avis défavorable....
N° 170 : 21 decembre 2025 - 18:19
Auteur : FLORENCE BOUGAULT
Son avis : Défavorable
Avant une contribution beaucoup plus conséquente et ettayée, je souhaite ici souligner l'hyprocrisie de ce dossier, l'hypocrisie de ce qui est a été "vendu" sur l'approvisionnement. On nous a expliqué que l'approvisionnement ne serait pas fait en Nouvelle Calédonie notamment car leurs standards ne répondaient pas à la norme Irma, une norme de "bonnes pratiques" et que donc ce projet allait se fournir notamment aupès de fournisseurs en Indonésie. Mais pas les chinois, parce que c'est pas bien.

Alors ils vont choisir qui ? une filiale française qui montrerait l'exemple ? Eramet en Indonésie ? Eramet, filiale francaise, celle qui exploite la mine de Weda Bay, une mine qui est depuis 2022 adhérente aux bonnes pratiques de la fameuse norme Irma justement.

Une mine qui installée à 85% sur le territoire ancestral d'une tribu autochtone, les Hongana Manyawa. Un peuple qui va mourir, que l'on spolie et qui n'a jamais donné son accord. un peuple qu'Eramet ne reconnait pas, l'Onu a du leur rappeler qu'ils étaient répertoriés... un peuple qui est sur ses terres et qui a fait le voyage à Paris pour le rappeler à une entreprise qui ne respecte rien, ni personne.

Weda bay, une mine tellement grande que la déforestation est à milliers d'hectares, parfois même sans autorisations. La plus grande mine de Nickel au monde; peut on se passer de son approvisionnement
Une mine tellement mauvaise sur le plan environnemental et humain que le fond souverain de la Norvège a décidé de sortir Eramet de ses actifs.

https://lareleveetlapeste.fr/letat-francais-pourrait-financer-les-projets-de-deforestation-de-weda-bay-la-plus-grande-mine-de-nickel-au-monde/


https://reporterre.net/Le-nickel-indonesien-de-nos-batteries-mene-un-peuple-a-l-aneantissement

https://www.sciencesetavenir.fr/nature-environnement/pollution/l-indonesie-prend-le-controle-d-une-partie-de-la-plus-grande-mine-de-nickel-au-monde_188155

Bref, la norme Irma... une grande hypocrisie de plus sur ce dossier qui n'a rien d'un projet vertueux de transition écologique mais alors vraiment rien de vertueux ....

Je viens de lire les contributions favorables qui disent"oui mais ils iront pas acheter le cobalt en république démocratique du Congo". Là ou les enfants travaillent pieds nus dans les mines et se contaminent au Cobalt au point de developper des cancers ?
Ben heureusement ....

l'extraction minière de ces métaux lourds est un carnage écologique et humain partout; pas moins en Indonésie ou au Brésil qu'ailleurs. c'est ca la vérité minière et le porteur de projet ne le sait que trop bien
N° 169 : 21 decembre 2025 - 18:14
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Avis défavorable...
N° 168 : 21 decembre 2025 - 18:14
Auteur : Anne MARCHAL
Son avis : Défavorable
On parle de l'urgence de protéger l'environnement... et on fait quoi ?
On l'ignore, on le détruit, on le massacre, parce que seul compte le profit. Quelle désolation ! Quel scandale !
Montaigne - il y a longtemps - écrivait : "C'est une belle harmonie quand le dire et le faire vont ensemble".
Qu'attendons-nous ?
N° 167 : 21 decembre 2025 - 17:27
Auteur : Joelle Havelaar
Son avis : Défavorable
Cette usine n'a pas lieu d'exister, ni ici, ni ailleurs.
La technologie en question est en voie d’être obsolète. Il n'y a aucune logique à implanter une usine dont on sait qu'elle n'a aucun avenir. Il faut investir l'argent publique dans des projets d'avenir, pas le gaspiller pour rentabiliser un port privé à court terme. Ce projet est scandaleux. Il sera sans nul doute épinglé par la cours des comptes dans 5 ans s'il voit le jour.
N° 166 : 21 decembre 2025 - 17:13
Auteur : Joelle Havelaar
Son avis : Défavorable
Au départ j'étais neutre sur ce projet. Je suis allé à une réunion d’information EMME à Blanquefort le 28 Octobre l’esprit ouvert et curieux. J’en suis sortie sidérée par l’énormité des affirmations et des réponses à mes questions. A croire que EMME pense s’adresser à des ignares facile à berner… Après à peine une semaine d'investigation, il s’est avéré que ce projet est une aberration sur tellement de points qu'on ne sait même pas par où commencer...

• L’argument environnemental : un mensonge = greenwashing
La conversion de cobalt et nickel est destinée à la fabrication de batteries électriques pour voitures de gros gabarit. Or seuls les voitures électriques de petits et moyens gabarits ont un impact positif sur la réduction de CO2, par rapport aux véhicules thermiques. L'argument selon lequel cette usine participe à la transition écologique est donc un mensonge.
https://www.carbone4.com/analyse-faq-voiture-electrique

• Une infrastructure stratégique ? NON : une durée d'exploitation de 15 ans maximum
Les réserves de Nickel et de Cobalt seront totalement épuisées vers 2040. C'est dans 15 ans seulement. Pour comparaison, l'usine Ford de Blanquefort a "vécu" presque 50 ans. Donc on veut nous imposer une usine qui sera fermée dans 15 ans au mieux, alors que les conséquences dureront largement plus longtemps. Encore une vision à court terme!
https://www.faraday.ac.uk/wp-content/uploads/2022/09/Faraday_Insights_6_Updated_Sept2022_FINAL.pdf

• La souveraineté et l'autonomie économique : encore un mensonge
La société EMME est domiciliée en Suisse. Ce n’est pas une société française

• Création d’emploi minime à un coût exorbitant
On nous fait miroiter la création de 500 emplois dont 200 en local (principalement peu qualifiés). On oublie de nous dire que le projet EMME compte sur une subvention publique de 150 millions d’euros !!
Ça fait l’équivalent de 300 000 euros par emploi créé, ou 750 000 euros par emploi local. Autant dire que les salaires des 200 employés locaux de EMME seront payés pendant 15 ans par vos impôts, alors que les bénéfices iront à des actionnaires. C’est une captation d’argent publique scandaleuse.
Pour comparaison le projet Axtom, situe sur l’ancien site Ford, ambitionne la création de 2500 emplois.

• Les risques environnementaux largement minimisés
Lors de la réunion du 28 Octobre, on nous a présenté une analyse de risque grotesque. Celle-ci présentait des estimations sur une technologie de fermeture des sacs de produit toxique qui ne sera pas celle utilisée, donc une étude obsolète. Aussi on nous a expliqué que les conteneurs ne tombent jamais à l’eau, et que quand bien même ils tomberaient dans la Garonne, ces conteneurs et les sacs contenant le produit toxique étaient « pratiquement » étanches. Sur les 20 sacs de sels toxiques contenus dans un conteneur, on nous a expliqué que seul 10kg se répandrait dans l’eau (donc pas étanche). Sachant que 20 sacs c’est environ 40m3 de sels, qui pèse approximativement 80 tonnes, soit 0,0125% du contenu soi-disant répandu. A ce niveau de déni, il n’y aurait jamais eu de marée noire dans l’histoire humaine.

• Une imperméabilisation de l’intégralité du site mais zéro impact sur les zones inondables.
Lors de la réunion du 28 octobre, on nous a aussi expliqué, que l’imperméabilisation de 32 hectares de sol inondable n’aurait aucune conséquence sur les inondations locales en cas de crue de la Garonne. Ceci basé sur des simulations informatiques. Interrogé sur la prise en compte des eaux de pluie, dans un environnement aux nappes peu profondes, au sol vite saturé en eau, et aux multiples affluents, on nous a expliqué que la contribution des eaux de pluie était négligeable, est n’avait donc pas été prise en compte. Je pense que les locaux, régulièrement inondés, non pas par les crues de la Garonne, mais par les pluies, n’ont pas été convaincues par des simulations auxquelles manquent des facteurs.

• Projet d'intérêt national majeur contesté
Le projet a été qualifié « d'intérêt national majeur » le vendredi 5 septembre 2025 (Décret n° 2025-915) par François Bayrou, qui a annoncé sa démission le lundi suivant. Ce décret fait l’objet d’une réclamation devant le conseil d’état car il ne remplit pas les critères requis dans de multiples domaines. L’intérêt national du projet est donc hautement discutable.

Aux vues de toutes ces aberrations on est en droit de se demander quelle est la véritable motivation pour implanter cette usine à cet endroit.
Généralement dans ces situations, il faut regarder à qui profite le… projet.
N° 165 : 21 decembre 2025 - 16:47
Auteur : Jean-Luc Castets
Son avis : Défavorable
Cette installation d'usine est un danger absolu pour les populations ,la biodiversité et l'environnement, en cas d'accident cet emplacement est plus que mal choisi, surtout au regard d'un risque d’inondation majeur.
Je suis résolument contre.
N° 164 : 21 decembre 2025 - 16:08
Auteur : Alexandra PRADO
Son avis : Défavorable
Avis complètement défavorable
Je suis Parempuyrienne depuis 5 ans. Je suis partie de Bordeaux pour retrouver le calme qu'offre la ville de Parempuyre entourée de ses zones humides où vivent de nombreuses espèces d'oiseaux dont de magnifiques cigognes. Il y a également des terres agricoles avec régulièrement des moutons des vaches des chevaux qui profitent des terres environnantes.
Ce projet va complètement à l'encontre du vivant en prenant en otage 32 Hectares sur une zone natura 2000, zone migratoire pour les oiseaux, et où se trouve des espèces de poissons protégés. De plus il s'agit d'une zone inondable à haut risque pour une usine qui est dangereuse pour la santé humaine (inhalation de microparticules pouvant provoquer le cancer)
Enfin la technologie cobalt nickel (matériaux critiques) est vouée à disparaitre pour laisser place à d'autres technologies telles que des batteries sodium ion, batteries semi solides (sans cobalt ni nickel)sur lesquelles travaillent déjà les chinois.Donc à quoi bon s'obstiner à endommager à long terme 32 Hectares de terres qui nous nourrissent et nous permettent de garder des zones humides essentielles à la régulation thermique du climat.
N° 163 : 21 decembre 2025 - 15:24
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Je suis contre pour des raisons
N° 162 : 21 decembre 2025 - 15:21
Auteur : Emmanuelle Ampoulange
Son avis : Défavorable
Je suis totalement contre ce projet.

L avenue de labarde est déjà très chargée pour circuler du Médoc à Bordeaux et inversement.
N oublions pas que nous sommes en zone inondable. Surélever la zone, n est pas une solution. Ce sera au détriment d autres parcelles.
Quid de la zone natura 2000. Tout ça pour ça.
Quid des nuisances sonores, visuelles, environnementales?

Ce genre d usine est déjà désuet.

N y a t il pas une autre zone dans le medoc où se projet pourrait se faire
N° 161 : 21 decembre 2025 - 14:27
Auteur : Didier Portillo Revueltas
Son avis : Défavorable
Site trop dangereux pour les personnes habitants à proximité. Et en plus sur terrain inondable.
N° 160 : 21 decembre 2025 - 14:27
Auteur : Joëlle Portillo portillo
Son avis : Défavorable
La santé des riverains est l'essentiel !!!
N° 159 : 21 decembre 2025 - 13:56
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Je suis pour le projet car il répond aux enjeux de développement du territoire et de la transition énergétique.
N° 158 : 21 decembre 2025 - 12:52
Auteur : Yohan DELAGE
Son avis : Défavorable
Je suis défavorable à ce projet pour plusieurs points.
Premièrement, son site est inadapté à ce type d'exploitation. Riche en biodiversité que la "compensation" du projet ne restaurera jamais, c'est un des rare site en de la région où niche une population incroyable de cigogne et d'oiseaux rares du fait de sa nature préservée de la pollution. Sans parler des autres espèces, la faune et la flore de ce site doivent être préservées. Vous nous proposez de gâcher la nature que j'aime tant arpenter le weekend en famille à l'occasion de mes promenades. De plus le caractère inondable de la zone n'est pas compatible avec ce type d'exploitation qui ne peut pas garantir les fuites résiduelles de vos produits. Pluie, vent, va et vient d'engin, déconditionnement en milieu ouvert, accident de déchargement courant sur ce type de livraison maritime, seront d'autant d'opérations qui dispersèrent dans les environs les résidus dangereux de vos produits. Couplé à des mouvements de crue et décrue, des vents puissants le long de l'estuaire et de fortes précipitations dans la région, il est évident que nous aurons une pollution qui se reprendra dans notre fleuve, nos nappes d'eau et notre nature en dépit de la conception de votre usine. La contamination des populations et de l'environnement local est une évidence.
Deuxièmement la proximité avec les populations de la zone et un danger immédiat auquel aucune de vos propositions ne satisfait nos concitoyens, nous ne souhaitons pas l'installation d'une telle usine aussi proche de nos résidences, cela créé une véritable gêne au quotidien, flux routier déjà important actuellement qui deviendra insupportable, risque environnementale accru, dévaluation de nos biens immobiliers d'au moins 10% non compensé malgré l'ensemble des avantages promis par l'EMME en réunion. Sans parler des conséquences irréversibles qu'un incendie de vos produits pourrait créer sur l'ensemble du Médoc et il y en aura comme dans de nombreuses autres installations de ce type connus à ce jour.
Troisièmement, un projet déjà dépassé par l'évolution des produits des batteries d'avenir plus éthiques, respectueuse de la santé dans leur exploitation et moins sujettes à la raréfaction des ressources qu'elle utilise. On sait déjà que les grands acteurs des véhicules électriques se détournent de la technologie lithium-ion au profit des nouvelles batteries LFP, LMFP, Na-ion. Votre projet sera opérationnel dans 5 ans au mieux quand les professionnels du métier pronostiquent la fin des batteries lithium-ion vers 2033-2035. Plusieurs des nouvelles batteries en vue vont éliminer des matériaux critiques comme le nickel, le cobalt, le manganèse, le lithium ou le graphite, au profit de matériaux abondants, bon marché et plus bénins pour l’environnement, comme le soufre, le fer et le sodium. Tous ces éléments montrent l’inutilité de votre projet qui, non seulement en retard sur son temps, sera obsolète à son ouverture.
Voici les arguments de mon avis défavorable.
N° 157 : 21 decembre 2025 - 12:44
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Ce projet est essentiel pour 5 raisons
1. Il participe a la transition energetique vers l'electrification des usages
2. C'est un projet d'économie circulaire , puisqu'on va pouvoir recycler les batteries en France
3. C'est un projet de souveraineté nationale puisqu'on ne dépendra plus des minéraux étrangers
4. C'est un projet éthique puisqu'il ne fait pas appel au cobalt des mines du RDC où des enfants sont esclavagisés
5. C'est un projet économique avec plus de 500 emplois à la clé pour la région
Par ailleurs c'est un projet environnementalement responsable puisqu'il décrit avec precision toutes les mesures et contre mesures , à un niveau rarement égalé dans l'industrie chimique.
N° 156 : 21 decembre 2025 - 12:33
Auteur : Celine Ardouin
Son avis : Défavorable
Ce site est en zone inondable et nous savons que nous serons soumis à de nouvelle montée du niveau de la mer et des évènements exceptionnels de submersion.
L avis du conseil national de la protection de la nature a donné un avis defavorable pour les raisons suivante "«le site présente une forte valeur patrimoniale faunistique, combinant des zones humides connectées à la Garonne, des milieux boisés humides riches en oiseaux forestiers, des friches portuaires accueillant des espèces floristiques et faunistiques rares».
Ce site se situe dans le parc des jalles.
N° 155 : 21 decembre 2025 - 10:46
Auteur : Claude ANDRIEUX
Son avis : Défavorable
Je souhaite exprimer un avis défavorable au projet d’implantation de l’usine portée par la société EMME, destinée à produire des sulfates de nickel et de cobalt pour la fabrication de batteries de véhicules électriques.
Ce projet est classé Seveso seuil haut et prévoit une implantation en bord de Garonne, dans un secteur identifié comme zone inondable.

Inadéquation du site au regard du risque inondation
Le choix d’implanter une installation Seveso seuil haut dans une zone exposée aux crues de la Garonne pose un problème majeur de compatibilité entre le site et la nature de l’activité projetée.
Le risque inondation est avéré et reconnu dans les documents de planification.
Le changement climatique accentue la fréquence et l’intensité des événements hydrologiques extrêmes.
Une inondation du site pourrait provoquer la dispersion de substances dangereuses (métaux lourds, produits chimiques, effluents industriels) dans le milieu naturel.
Hautement toxiques et solubles dans l’eau, le Nickel et le Cobalt provoqueraient une catastrophe écologique s’ils se déversaient dans le fleuve en grande quantité avec la marée à laquelle est soumise la Garonne, un accident toucherait toute la métropole de Bordeaux (pour mémoire un tel incident est intervenu en Finlande en juillet 2024)
52 000 tonnes de sulfate de Nickel et de Cobalt seront stockées en permanence sur place et même une zone surélevée ne garantit pas tout risques de submersion ou d’accident humain.
Cette situation est contraire aux objectifs de prévention des risques majeurs et au principe de précaution, qui impose d’éviter l’implantation d’activités dangereuses dans des zones à vulnérabilité élevée.

Ce site présente une forte valeur patrimoniale faunistique combinant des zones humides connectées à la Garonne, des milieux boisés humides et riches.

Risques industriels et sécurité des populations
Le classement Seveso seuil haut implique l’existence de scénarios d’accidents majeurs susceptibles d’avoir des conséquences graves sur les personnes et les biens.
La proximité de zones habitées sur les communes de Parempuyre et Blanquefort accroît l’enjeu humain.
En cas d’accident combiné à une crue, les capacités d’intervention et d’évacuation seraient fortement dégradées.
Le cumul des risques (industriel, inondation, transport de matières dangereuses) n’est pas suffisamment justifié ni compensé.
L’exposition des populations à ces risques apparaît disproportionnée au regard des bénéfices locaux du projet.

Atteintes potentielles à l’environnement et à la ressource en eau
La Garonne constitue une ressource stratégique pour l’alimentation en eau potable, l’agriculture et les écosystèmes aquatiques.
Le nickel et le cobalt sont des substances toxiques, persistantes et susceptibles de bioaccumulation.
Un rejet accidentel ou chronique pourrait entraîner une contamination durable :
- du fleuve et de ses sédiments,
- des nappes phréatiques,
- de l’estuaire de la Gironde.
Les impacts environnementaux d’un tel accident dépasseraient largement le périmètre du projet et seraient difficilement réversibles.

Incohérence avec les objectifs de transition écologique
Si le projet est présenté comme contribuant à la transition énergétique, celle-ci ne saurait justifier la création de nouveaux risques industriels majeurs dans des zones vulnérables.
Une transition écologique cohérente suppose :
- des choix d’implantation compatibles avec la sécurité et l’environnement,
- une priorité donnée au recyclage des métaux et à la réduction des impacts industriels,
- une prise en compte globale du cycle de vie des batteries.
Or, l’approvisionnement n’est pas sécurisé Nickel et Cobalt venant principalement d’Indonésie et du Brésil à plus de 10 000Km l’empreinte carbone n’est pas suffisamment prise en compte.
En l’état, le projet apparaît en contradiction avec ces objectifs d’autant que les conditions de travail pour extraire ces minerais sont inhumaines l’accident du 15 novembre 2025 dans une mine de Cobalt en république démocratique du Congo à fait plus de 70 morts.

Insuffisance de l’acceptabilité sociale et de la concertation
Le projet suscite de fortes inquiétudes parmi les habitants et acteurs locaux, révélant un déficit d’adhésion sociale.
Or, l’acceptabilité d’un site Seveso repose sur :
- une information complète et transparente,
- une concertation approfondie en amont,
- une réelle prise en compte des alternatives d’implantation.

Par ailleurs les Conseils municipaux qui ont conditionné leur approbation à 23 demandes de garanties ne mettent en place aucun suivi contraignant au porteur de projet et n’exigent aucune réponse étayée (Cf. les comptes rendus des conseils municipaux).
Quelques exemples : Demande d’une expertise indépendante sur les scenarios d’inondation. La mise en place d’une station d’épuration adaptée aux rejets chimiques, la communication des mesures de prévention en cas de fuite ou rupture de canalisation, la limitation du trafic routier…..

Conclusion et demande

Au regard de l’ensemble de ces éléments, je considère que :
- le site retenu est inadapté à une installation Seveso seuil haut,
- les risques cumulés sont insuffisamment maîtrisés,
- les impacts potentiels sur l’environnement et les populations sont disproportionnés.

???? En conséquence, je demande l’abandon de l’implantation du projet sur ce site,
N° 154 : 21 decembre 2025 - 10:00
Auteur : THIERRY VERHOEFF
Son avis : Défavorable
NON au projet d'implantation de l'usine EMME, compte tenu du rapport bénéfices/risques largement DEFAVORABLE pour moi (risques notoires de pollution, d'accident majeur, d'inondabilité, etc) !
N° 153 : 21 decembre 2025 - 09:02
Auteur : Elisa NOVAKOFF
Son avis : Défavorable
Projet complètement aberrant et abjecte pour différentes raisons:
-zone inondable
-zone natura 2000
-produits mortifères
-technologie obsolète
-gaspillage encore une fois abjecte de l’argent public
-historique des.du porteur.s de projet inquiétant
-modele économique non pérenne et destructeur
Pour ma part ce sera donc un avis défavorable, hautement défavorable
N° 152 : 21 decembre 2025 - 08:51
Auteur : valérie ROBERT
Son avis : Défavorable
Je ne souhaite pas voir cette usine s'implanter pour plusieurs raisons:
-un risque Seveso élevé dans une zone inondable en principe non constructible
- une augmentation du flux de camions dans un secteur déjà encombré avec un impact sur l'état des routes
- un risque pour la santé des riverains
- un risque pour la faune et la flore environnantes
- quel sera l'impact sur les cultures et les élevages de proximité ?
On ne maîtrise pas les éléments, comme le laissent croire les documents diffusés : tempêtes, inondations...
N° 151 : 21 decembre 2025 - 07:57
Auteur : Sophie Lamy
Son avis : Défavorable
Défavorable au projet EMME
N° 150 : 20 decembre 2025 - 22:38
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Quand il y aura plus rien à extraire, on fera comment ? Arrêtons la course en avant.
N° 149 : 20 decembre 2025 - 21:05
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Je suis Très Défavorable à ce projet, qui va apporter que des désagréments à la santé des personnes, dégrader l'environnement, et gros risques de désordres climatiques catastrophiques : comme inondation, dégradation de la flore faune, animaux aquatiques, l'air pollué.
Au lieu de faire un projet qui apporte le bien être à notre terre, à notre environnement.

Défavorable à ce projet EMME projet industriel néfaste aux usagers et à l'environnement, du faite de sa proximité de son installation proche de l'eau.

Solution : leur proposer de se déplacer dans un autre lieu plus adapter à leur production. Ainsi on évitera les désordres et du coup on créera de l'embauche. Une embellie économique.
N° 148 : 20 decembre 2025 - 19:44
Auteur : PATRICK DARMUZEY
Son avis : Défavorable
J'exprime son indignation face au projet d’implantation d’une raffinerie classée Seveso « seuil haut » à Parempuyre et Blanquefort. Cette installation serait construite en pleine zone d’expansion des crues, au cœur du lit majeur de la Garonne. Or cette zone agricole joue un rôle essentiel de protection contre les inondations pour des secteurs beaucoup plus peuplés. Le projet porté par la société EMME ferait peser un risque chimique majeur sur les habitants, la biodiversité et l’environnement. Ignorer la montée prévisible du risque d’inondation constitue une décision contraire au principe de précaution.
N° 147 : 20 decembre 2025 - 18:12
Auteur : Françoise Labrosse
Son avis : Défavorable
Madame, Monsieur,
Je m’oppose vivement au projet d’implantation de l’usine EMME et ce pour plusieurs raisons :
- L’implantation dans une zone naturelle et inondable, située dans le lit majeur de la Garonne, d’une usine classée «Seveso seuil haut», en raison de la dangerosité des produits pour l’environnement, qui plus est à l’heure ou le dérèglement climatique, qui n’en est qu’à ses débuts, multiplie des tempêtes et ou la montée des eaux est une certitude, il est totalement irresponsable et criminel de choisir un tel emplacement,
- Conformément à l’avis défavorable du Conseil national de la protection de la nature
- Parce qu’il n’est pas admissible que nos impôts servent à financer un tel projet via des aides publiques pour la construction du site ainsi qu’un fonds gouvernemental «métaux critiques» destiné à soutenir la "souveraineté énergétique française"
- Parce qu’il est mensonger de faire croire à une souveraineté française quand le nickel provient majoritairement de pays lointains (Indonésie, Nouvelle-Calédonie) ou que des investisseurs étrangers prennent possession de nos usines françaises (Eramet acheté par des Sud-américains)
- Parce que la production de nickel et des minerais en général causent des dégâts environnementaux et humains dramatiques et scandaleux
- Pparce qu’il est irresponsable de promouvoir le tout électrique sans remettre en cause de « tout voiture et camion ».
Je veux enfin vous exprimer ma désespérance et ma colère de voir nos autorités faire les choix qui nous mènent droit dans le mur. Quel monde allons-nous laisser à nos descendants ?
N° 146 : 20 decembre 2025 - 14:02
Auteur : J'claude L'aborde
Son avis : Défavorable
Pasd'usine seveso implantée dans une zone inondable,fragile et riche en biodiversité.
N° 145 : 20 decembre 2025 - 13:08
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Je ne suis absolument pas favorable à l'implantation de cette activité. D'autres activités, innovatrices et respectueuses de l'environnement ainsi que de l'inclusion de personnes en situation de handicap, par exemple, peuvent être créer pour dynamiser les communes et créer du partage et de l'emploi pour tous.
Soyons vigilant à notre avenir et celui de nos enfants et bien sûr l'écosystème et la nature.
N° 144 : 20 decembre 2025 - 08:59
Auteur : Benoit Simian
Organisation : Ancien Député Maire de Ludon-Medoc
Son avis : Défavorable
La décarbonation a toujours été une priorité dans les politiques publiques sur lesquelles je me suis investi en tant que Maire de Ludon-Medoc puis Parlementaire.

J’ai participé à l’accompagnement et à l’implantation de Hydrogene de France sur le site de reconversion industrielle de Ford situé à proximité du projet EMME.

Considérant le classement SEVESO seuil haut du projet EMME pour créer une unité de conversion de nickel et de cobalt sur la zone de Grattequina en Gironde, le site choisi ne paraît pas adapté.

Pour des raisons écologiques :

1/ le projet se situe en zone rouge du PPRI

2/ le projet se situe aux portes du parc naturel régional du Medoc

3/ le projet se situe sur un corridor écologique important pour les migrations

Pour des raisons sociales et humaines

4/ le projet se situe à proximité de la fédération de chasse de la Gironde au domaine de Pachan et de zones agricoles aux portes de la métropole

5/ le projet se situe à proximité de zones résidentielles

6/ le projet se situe à proximité d’une zone commerciale importante à Bordeaux Lac et à proximité du grand stade de Bordeaux secteur à forte densité de populations

7/ l’infrastructure routière est insuffisante

8/ le réseau en eau actuel est largement insuffisant à l’échelle de la métropole pour les populations actuelles

Pour des raisons économiques:

9/ le terminal portuaire de Grattequina pourrait être utilisé pour l’export de vin ou l’acccueil de bateaux de croisières

10/ le terminal portuaire de Grattequina est déjà utilisé pour les lanceurs de Ariane 6 fabriqués sur des communes voisines.

En conséquences le projet EMME est en l’espèce insoutenable écologiquement, socialement et économiquement sur le site de Grattequina et doit s’implanter sur un autre site plus adapté

Des friches industrielles sont disponibles dans le même bassin d’emploi comme par exemple l’ancien site Shell de Pauillac qui dispose aussi d’un terminal portuaire adapté qui n’est plus utilisé par airbus.

Benoit SIMIAN
Ancien Député Maire de Ludon-Medoc
Ancien rapporteur du budget écologie
Ancien membre du conseil d’orientation des infrastructures
N° 143 : 20 decembre 2025 - 08:45
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Je suis opposée à ce projet pour les raisons suivantes :
il va détruire des hectares d'espaces naturels
il présente un risque pour l'environnement en raison de son classement SEVESO seuil haut
il est devenu inadapté, les batteties au nickel-cobalt étant remplacées par des batteries au sodium

La création d'emploi n'est pas un argument suffisant au regard des nobmreux aspects négatifs de ce projet.

Il serait souhaitable que le gouvernement prenne en compte l'avis des habitants qui vont être impactés dans leur vie quotidienne par le projet EMME.
N° 142 : 19 decembre 2025 - 21:53
Auteur : Stéphane Lopez
Organisation : Genomines
Son avis : Favorable
Genomines est une entreprise française positionnée sur la production de métaux critiques à faible impact, via un procédé de phytoextraction combinant plantes hyperaccumulatrices et valorisation de biomasse, afin de soutenir la réindustrialisation et la transition énergétique. Notre trajectoire industrielle vise à structurer, en France et en Europe, des chaînes d’approvisionnement plus courtes, plus robustes et plus compétitives pour les matériaux indispensables à la mobilité électrique.

Dans ce contexte, Genomines a signé avec EMME un protocole d’accord, afin d’examiner les conditions d’une coopération industrielle portant sur la conversion de matières intermédiaires en produits répondant aux standards du marché batterie.

Nous considérons que le projet d’unité de conversion de nickel et de cobalt porté par EMME constitue une initiative structurante pour la France et pour l’Europe, et nous souhaitons exprimer, au titre de la présente enquête publique, un avis pleinement favorable.

1) Une infrastructure stratégique pour la filière batteries

Le projet répond à un besoin central : disposer sur le territoire national d’une capacité industrielle de conversion grade batterie, étape déterminante de la chaîne de valeur. En consolidant cette brique en France, EMME contribue à ancrer durablement la filière batteries, à accélérer son passage à l’échelle, et à renforcer l’attractivité du pays pour les projets industriels connexes.

2) Souveraineté, résilience et autonomie économique

La localisation en France d’un outil de conversion de dimension européenne participe à réduire la dépendance à des capacités extra-européennes et, plus largement, à renforcer la résilience face aux cycles de marché et aux aléas géopolitiques. Pour l’économie française, c’est un levier concret d’autonomie sur des intrants critiques, avec un effet direct sur la compétitivité de l’industrie de la mobilité électrique.

3) Un effet d’entraînement sur l’écosystème productif national

Pour une entreprise française comme Genomines, la présence d’un acteur de conversion implanté en France est un facteur de structuration : chaînes logistiques plus courtes, coordination industrielle facilitée, boucles qualité plus rapides, et développement d’un tissu de fournisseurs et prestataires nationaux (ingénierie, analyses, maintenance, équipements, transport). Au-delà de notre cas, l’implantation d’EMME est susceptible de jouer un rôle d’entraînement pour les PME/ETI industrielles.

4) Réindustrialisation des compétences et montée en gamme technologique

La transition vers la mobilité électrique implique de ré-ancrer des compétences industrielles à forte valeur ajoutée : hydrométallurgie, chimie de spécialités, contrôle qualité, HSE, automatisation, maintenance. Un projet comme celui d’EMME contribue à reconstituer ces savoir-faire, à structurer des parcours de formation, et à installer dans la durée une capacité technologique stratégique sur le territoire.

5) Emplois, formation et dynamisme territorial

Au-delà de l’investissement, une installation industrielle de cette nature génère de nombreux emplois directs et indirects, ainsi que des besoins durables en compétences techniques. Elle ouvre des perspectives de formation et de montée en qualification.

6) Un bénéfice économique et industriel pour la France et l’Europe

En consolidant la chaîne de valeur des matériaux batteries, le projet renforce la valeur ajoutée produite sur le territoire national, soutient la compétitivité des industriels européens, et contribue à l’objectif de réindustrialisation associé à la transition énergétique.

En définitive, Genomines considère que le projet EMME constitue une avancée majeure pour l’ancrage en France d’une filière stratégique de matériaux batteries. Par son positionnement, sa vocation industrielle et sa contribution à la souveraineté européenne en métaux critiques, il répond à un objectif clair de réindustrialisation, de compétitivité et d’autonomie productive.

Genomines exprime donc un avis pleinement favorable à la réalisation de cette unité et se félicite qu’une capacité de conversion de rang européen puisse être implantée en France, au service de la mobilité électrique et de l’économie nationale.
N° 141 : 19 decembre 2025 - 19:34
Auteur : Nicolas Bienville
Son avis : Défavorable
Sur le fond : ce projet se veut comme une réponse aux enjeux de transition énergétique et de souveraineté. Le "pourquoi" annoncé est donc pour sauvegarder l'environnement et pour sauvegarder les citoyens.
Mais alors pourquoi construire quelque chose d'aussi risqué pour les citoyens et l'environnement?
(Seveso seuil haut, vous connaissez l'impact de Seveso?)
Et de surcroît dans une zone elle aussi très risquée: risques avérés d'inondation pour l'usine elle même, et risque majoré pour la population autour si cette zone ne sert plus de tampon, et le dérèglement climatique que l'on ressent de plus en plus va encore aggraver cela! (lien vers site officiel: https://www.adaptation-changement-climatique.gouv.fr/dossiers-thematiques/impacts/inondation#toc-ville-eponge-repenser-l-urbain)
Donc sur le fond je donne un avis défavorable.

Sur la forme maintenant ...
- de nombreuses confusions dans le dossier (incompétence ou mauvaise foi? quoi qu'il en soit ce n'est pas rassurant)
- des millions d'euros de subventions et crédits d'impôts (=coût pour la société)
- emplois promis de manière floue (locaux ou pas?)
- pareil pour l'approvisionnement en matières premières (françaises? vraiment?)
- pareil pour les débouchés (pas forcément français)
- une technologie déjà obsolète de batterie
- un entrepreneur également douteux
...
AVIS TRES DEFAVORABLE
N° 140 : 19 decembre 2025 - 19:06
Auteur : Brigitte Arnaud
Son avis : Défavorable
Cette installation à haut risque chimique représente un grand danger en cas d’accident pour les populations, la biodiversité et l’environnement. Ne pas prendre en considération le risque d’inondation majeur, qui ne peut qu’augmenter dans les années à venir, est un acte irresponsable au regard du principe de précaution.
N° 139 : 19 decembre 2025 - 17:48
Auteur : GISELE DELIGEY
Son avis : Défavorable
Je suis opposée à ce projet, qui constitue un danger tant pour la population des deux côtés de la rive de la Garonne que pour la biodiversité. Il semble aussi qu'il n'a pas de justification ni économique ni autre et au vu du dossier il s'agirait d'une projet spéculatif des plus dangereux.
N° 138 : 19 decembre 2025 - 17:41
Auteur : Georges BENIS
Son avis : Défavorable
Inadmissible d'implanter une usine Seveso seuil haut en zone inondable ! Et remettant en cause une zone d'expansion des crues qui impactera, notamment le port de Macau en cas d'inondation.
N° 137 : 19 decembre 2025 - 16:51
Auteur : Bernard Verrier
Son avis : Défavorable
juste un témoignage: j'ai eu l'occasion d'avoir accès au plan de la zone de protection SEVESO de st MARIE DE CUINES, curieusement les vents dominants s'arrêtaient aux limite de certaines parcelles qui de ce fait se trouvaient incrustée en hors zone SEVESO dans la zone ou logiquement ils auraient du être.
j'imagine que certains ne voulait pas voir le foncier dévalorisé.
donc avant de donner un avis vérifier bien si possible à quoi ressemble le plan de la zone Seveso
tirez en les conclusions éventuelles.
N° 136 : 19 decembre 2025 - 16:50
Auteur : Guillaume VAISSE
Son avis : Défavorable
- Site SEVESO à risque Haut, en Zone inondable et inconstructible ...
- Technologie déjà obsolète
- Pour seulement 200 emplois, c'est à dire une grosse PME
N° 135 : 19 decembre 2025 - 15:54
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Je suis contre cette implantation
Projet qui n’a pas de sens
Danger absolu pour la nature et l’humain
Beaucoup de choses trop opaques au sujet de ce projet
Je vote contre
N° 134 : 19 decembre 2025 - 15:51
Auteur : BEATRICE BIGUET VERNIER
Son avis : Défavorable
AVIS DEFAVORABLE :
Comment imagine-t-on installer sur un tel site , actuellement « non constructible » selon le PLUI , une raffinerie SEVESO à haut risque en zone agricole, non seulement inondable mais aussi soumise aux risques de submersion par la Garonne ?
Classée SEVESO seuil haut, cette usine pourrait en effet provoquer des fuites de substances toxiques , accroître le risque d’inondations et mettre en péril la population de la Métropole de Bordeaux et l'un des plus grands estuaires d'Europe ... et cela sur un site classé Natura 2000 !!!
Projet insensé et écocide !
N° 133 : 19 decembre 2025 - 15:24
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
L'implantation de cette usine va remettre en cause le plan de prévention des inondations en privant ce dernier d'une zone de délestage de la Garonne. Résultat ce sont les terrains alentours, urbanisés ou agricoles, qui devront faire face à une montée des eaux plus importante encore.
Par ailleurs, on nous indique que l'usine sera sur un remblai donc les constructeurs savent déjà qu'ils vont devoir faire face à des inondations mais ils semblent ne pas avoir pris en compte la montée des eaux en lien avec les changements climatiques.
Toute implantation en bord de fleuve, océan, rivière, ... devait être totalement interdit.
Une fois de plus on investit de l'argent public sans vision à long terme.
Pièce jointe : 950_num133.png
N° 132 : 19 decembre 2025 - 14:59
Auteur : JEAN MARIE LABOYRIE
Son avis : Défavorable
Je souhaiterais répondre aux personnes qui émettent un avis favorables en s'appropriant l'argument des "retombées sur le territoire" claironné à l'envie par le porteur de projet. S'agissant de la création d'emploi, le porteur de projet prévoit la création de 200 emplois, il oubli d'écrire "dont à peine 20% en local". "Création de 300 emplois chez les sous-traitants", je rappelle s'il en était besoin que le porteur de projet n'est pas responsable ni maitre de la politique de recrutement de ses éventuels sous-traitants. Le porteur de projet parle d'un important volume d'achat de services et de consommables mais rien ne l'oblige à se fournir en local. Le porteur de projet avance aussi d'importantes retombées en terme de fiscalité. Je rappelle que le porteur de projet bénéficie d'un crédit d'impôt de 150 millions€, que la surface de la raffinerie est en partie sur une zone d'Aide à la Finalité Régionale et donc que le porteur de projet bénéficiera des exonérations suivantes :
Impôt sur les bénéfices (IR ou IS) : Exonération de deux ans en totalité et de manière dégressive les trois années suivantes à hauteur de 75 %, puis 50 % et enfin 25 %.
Cotisation Foncière des Entreprises (CFE) : Exonération totale ou partielle sur cinq ans maximum.
Cotisation sur la Valeur Ajoutée des Entreprises : Exonération de CVAE sur la part communale de cette cotisation revenant aux communes, dans les mêmes proportions que la CFE. Les régions et les départements peuvent aussi décider d'exonérer leur part sur délibération.
Résultats : 5 ans d'exonération d’impôts.
Enfin le porteur de projet avance des participations a l'entretien des jalles, au sport et la culture.
Je rappelle que M. Beurrier est l'unique actionnaire de la société suisse KL1 Ag qui a crée la société Emme dont il est le président, c'est un financier ou un investisseur, pas un industriel, son credo c'est les bénéfices et les dividendes qu'il ne manquera pas de se verser ainsi qu'aux éventuels futurs actionnaires de Emme.
Ne vous laissez plus beurrer les lunettes par ce discours bien lisse, bien léché.
Les promesses de M. Beurrier n'engagent que ceux qui les croient.
N° 131 : 19 decembre 2025 - 13:41
Auteur : Nicolas POUILLAUDE
Son avis : Favorable
Le projet EMME (Electro Mobility Materials Europe) est reconnu Projet d’Intérêt National Majeur. Il vise à produire en Nouvelle Aquitaine des matériaux stratégiques pour les batteries de véhicules électriques, contribuant :
• à La Souveraineté industrielle : réduire notre dépendance aux importations notamment en provenance d’Asie.
• à La Transition écologique : éviter 1,6 Mt de CO₂ par an, favoriser le recyclage et limiter les impacts environnementaux.
• au Développement du territoire : création de 500 emplois dont 200 directs.
L’usine, située sur le site industrialo-portuaire de Parempuyre/Blanquefort (Gironde), est un projet INDISPENSABLE pour Bordeaux Métropole et la région Nouvelle Aquitaine.
Je soutiens sans réserve ce projet.
N° 130 : 19 decembre 2025 - 12:59
Auteur : Lucie Hémond
Organisation : France insoumise Bordeaux Métropole
Son avis : Défavorable
La France Insoumise Bordeaux Métropole soutient pleinement les habitant·es et associations qui se mobilisent depuis plusieurs mois contre le projet d'implantation de l'usine EMME en bord de Garonne sur les communes de Parempuyre et de Blanquefort.
Nous sommes particulièrement inquiets du choix d’installer ce projet de raffinerie de nickel et de cobalt classée Seveso seuil haut dans une zone inondable. Dans un contexte de montée en puissance des évènements climatiques extrêmes, ce choix génère en cas de crue un risque fort de submersion du site et de dispersion de métaux lourds et de composés toxiques dans le fleuve.
Nous déplorons également son implantation sur un site non artificialisé, classée Natura 2000, qui joue actuellement un rôle majeur dans la régulation du cycle de l’eau et la protection des quartiers alentours en constituant une zone de transfert et d’absorption des phénomènes de crues. Nous dénonçons enfin l’opacité qui entoure ce projet et qui va à l’encontre du modèle de planification écologique défendu par la France Insoumise, reposant sur une méthode de décision et de pilotage publics et collectifs, en concertation avec les habitant·es et élu·es locaux.
La relocalisation industrielle de capacités de traitement de matériaux utilisés dans la production de batteries est essentielle pour atteindre nos objectifs d’indépendance stratégie et de transition écologique. Elle doit néanmoins respecter des critères sociaux et environnementaux transparents et stricts, notamment en matière de protection des risques.
La France Insoumise Bordeaux Métropole affirme ainsi son opposition à ce projet qui, du fait de la localisation choisie, comporte un risque écocidaire et exige sa réorientation vers un site d’implantation alternatif et adapté, avec des garanties fortes en matière de protection de l’environnement, de capacité de recyclage des batteries et de sobriété.
N° 129 : 19 decembre 2025 - 11:50
Auteur : Adélaïde Benquet -Bétinsky
Son avis : Défavorable
Ce projet va détruire les habitats naturels d'espèces protégées en voie d'extinction en fragmentant les territoires. Il va détruire une zone humide inondable, protégée elle aussi,
par la convention européenne Natura 2000 et des décrets environnementaux.
Ce site sert de zone de rétention des eaux, en cas d'inondations. Il apparaît inconcevable de mener ce projet à son terme dans cet endroit.
N° 128 : 19 decembre 2025 - 09:57
Auteur : Bernard Bril
Son avis : Défavorable
Il est dangereux de construire une usine employant des composants très toxiques dans une zone où le risque d'inondation est important. Il y a certainement d'autres emplacemùents moins problématiques.
N° 127 : 19 decembre 2025 - 09:28
Auteur : Rémy Arnaud
Son avis : Défavorable
Non au projet emme, protegeons la nature face au risque que comporte ce projet qui a de plus reçu un avis defavorable du conseil national de l’environnement.
Implanter une raffinerie SEVESO dans une zone inscrite au PPRI represente un risque enorme pour l’environnement.
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N° 126 : 19 decembre 2025 - 08:56
Auteur : denis redureau
Son avis : Défavorable
Je m'oppose à un passage en force du projet de raffinerie porté par la société EMME. Sur le plan hydrologique, son implantation entrainerait l'imperméabilisation d'une grande surface, en pleine zone d'expansion des crues, inscrite au Plan de Prévention des Risques d’Inondation et donc censée protéger les zones habitées, le risque se majorant d'année en année du fait des dérèglements climatiques. De plus, cette installation, classée Seveso "seuil haut", présente un haut risque chimique. Projetée en zone agricole, un possible accident nuirait gravement à l'environnement et à la biodiversité. L'emplacement choisi n'est donc pas le bon, et doit être protégé par le PLU, qui doit prendre en compte une étude environnementale et le principe de précaution. Enfin, la démocratie locale doit être consultée, et l'expertise du tissu associatif associée au choix à émettre, pour le respect de la sécurité de l'environnement et des populations.
N° 125 : 19 decembre 2025 - 07:35
Auteur : Jean Jacques BERNARDINI
Son avis : Défavorable
AVIS TRES DEfavorable
N° 124 : 19 decembre 2025 - 00:21
Auteur : valerie grosjant
Son avis : Défavorable
avis défavorable et grand danger pour l'environnement donc pour le VIVANT
N° 123 : 18 decembre 2025 - 22:45
Auteur : Anne Bouchot
Organisation : Citoyenne
Son avis : Défavorable
Cette installation à haut risque chimique représente un danger absolu pour les populations, la biodiversité et l’environnement en cas d’accident. Ne pas prendre en considération le risque d’inondation majeur, qui ne peut qu’augmenter dans les années à venir, est un acte irresponsable au regard du principe de précaution.
Or, l’implantation de cette raffinerie classée Seveso « seuil haut » est prévue sur le territoire des communes de Parempuyre et de Blanquefort, sur un terrain situé dans le lit majeur de la Garonne, en pleine zone d’expansion des crues.
C'est pourquoi j'émets un avis défavorable.
N° 122 : 18 decembre 2025 - 22:30
Auteur : Karen Renouil
Son avis : Défavorable
Je suis opposée au projet de construction de l'usine EMME et encore plus à cet endroit.

Son implantation en bordure de la Garonne, dans une zone d extension des crues, zone Natura 2000 reconnue pour la richesse de sa biodiversité et la fragilité de ses écosystèmes, à proximité immédiate du Parc Naturel Régional PNR Médoc, présente des risques écologiques majeurs et irréversibles incompatibles avec les objectifs de préservation.

Le projet ne prend pas non plus en compte le tissu économique local. Le discours prônant la création d'emplois, menace en réalité bien d'autres emplois qui font vivre actuellement le territoire (agriculteurs, viticulteurs, rayonnement oenotouristique et bien d'autres).

Les infrastructures routières sont déjà saturées. Cela agraverai encore plus les conditions de circulation. Pensons que pour alimenter le site en électricité il faudrait creuser un raccordement sur 7 kms traversant le centre de la commune de Parempuyre.

Le financement public dont pourra bénéficier l'usine représente des millions d'euros en crédits d’impôts. Dans un contexte où il est régulièrement demandé aux citoyens de faire des efforts budgétaires et de « se serrer la ceinture », il est inacceptable que l’argent public serve à soutenir un tel projet.

Enfin, la diffusion de flyers de communication dans les boîtes aux lettres présentant l’usine comme acquise alors que les autorisations ne sont pas toutes délivrées porte atteinte à la sincérité de l’enquête publique.

Pour l’ensemble de ces raisons, je suis totalement défavorable à ce projet !
N° 121 : 18 decembre 2025 - 22:26
Auteur : Dominique Soulier
Son avis : Défavorable
Bonjour
Beaucoup trop d’éléments plaide contre cette installation classe seveso
- risqué écologique important pollution
- zone humide
- proximité du fleuve et risque d’inondation avérée pour rappel
La centrale de braud et St. Louis à frôlée la catastrophe
-les garantie sur les risques aux personnes locale et agglomération bordelaise sont trop importantes
- financement opaque et insuffisant engagement de l’industriel
Loin des promesses
En conclusion cette implantation comporte beaucoup plus de risques que d’intérêt pour la région
N° 120 : 18 decembre 2025 - 21:58
Auteur : Christophe Dupré
Organisation : Parempuyre Nous Inspire
Son avis : Défavorable
Bonjour,

Je m’oppose au projet industriel EMME pour des raisons majeures de fond et de méthode.

La crédibilité du projet est d’abord en cause. L’annonce initiale d’un investissement à 298 M€, suivie d’une réévaluation à près de 500 M€, laisse penser que le projet a été sous-déclaré afin d’éviter certaines obligations de concertation, ce qui pose un réel problème de transparence.

Le choix du site est particulièrement inadapté. L’implantation est prévue en zone Natura 2000, agricole et inondable, abritant une biodiversité fragile. L’installation d’une usine classée Seveso seuil haut dans un tel environnement fait peser un risque important sur les sols, l’eau, la faune et la flore, notamment en cas d’événement climatique extrême ou d’accident industriel. Le stockage et la manipulation de nickel et de cobalt, substances toxiques et cancérogènes, exposent durablement le territoire et ses habitants.

L’intérêt général du projet est également discutable. Le recours à environ 150 M€ de subventions publiques pour un projet créant un nombre limité d’emplois interroge, d’autant plus que des sites industriels existants et mieux adaptés ferment ailleurs.

Enfin, les impacts sur la qualité de vie sont sous-estimés : saturation de la circulation, nuisances liées aux travaux et à l’exploitation, passage de lignes à haute tension à proximité d’établissements scolaires, ainsi que dépréciation du patrimoine immobilier liée à la présence d’un site Seveso.

Pour l’ensemble de ces raisons environnementales, sanitaires, économiques et sociales, je suis opposé à l’implantation du projet EMME à Parempuyre.
N° 119 : 18 decembre 2025 - 21:35
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Inacceptable d'un point de vue environnemental et humain
N° 118 : 18 decembre 2025 - 21:31
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Ce projet est inacceptable, source de déchets chimiques, incohérent d'un point de vue environnemental et dans une zone innondable.
Sans parler de l'impact sur l'homme.
N° 117 : 18 decembre 2025 - 21:07
Auteur : Isabelle Simon
Son avis : Défavorable
Messieurs,
L'usine Emme veut s'implanter au bord de la Garonne. Je pose simplement ces questions. Messieurs les décideurs accepteriez vous qu'une usine aussi polluante, s'implante à proximité de votre résidence principale, secondaire ou de vacances.
Diriez vous que c'est pour le bien de l'état et donc ne pas s'inquiéter car il n'y a aucun risque de pollution dû aux inondations, que l'air que vous respireriez est sain, que vos enfants pourront se baigner sans risques etc...
Si les intérêts financiers primes sur la sécurité des citoyens et que vous êtes d'accord sur ce projet alors faites construire cette usine près de chez vous.
Cela voudra dire que vous avez entièrement confiance en la fiabilité de ce projet.
N° 116 : 18 decembre 2025 - 19:42
Auteur : Christine Richon
Son avis : Défavorable
Ce projet est complètement déconnecté de la réalité environnementale : la biodiversité est en chute libre, les terres et les eaux sont polluées occasionnant des risques non encore évalués sur la santé, et nous observons des événements climatiques dévastateurs à une fréquence inédite (dont des inondations dévastatrices).
Ce projet a été lancé sous couvert de transition écologique, mais il représente plutôt un moyen de faire des profits sans se soucier des répercussions de cette installation, à hauts risques chimiques, sur son environnement (humain et non humain) immédiat. Et outre la pollution continue associée au fonctionnement de l'installation, il est inconcevable de ne pas prendre en compte les risques associés aux potentiels accidents de cette installation classée SEVESO "seuil haut".
Et des accidents sont d'autant plus à craindre que le terrain choisi pour le projet est situé dans le lit majeur de la Garonne, en pleine zone d’expansion des crues. Cette zone agricole, inscrite au Plan de Prévention des Risques d’Inondation, protège des inondations d’autres zones plus densément peuplées.

Donc, non, l'étiquette "pour la transition écologique" ne justifie pas de détruire encore plus l'environnement, ni de faire prendre des risques inconsidérés aux riverains.
N° 115 : 18 decembre 2025 - 19:01
Auteur : Nicolas TRINITE
Organisation : 01/12/1971
Son avis : Défavorable
Cette installation à haut risque chimique, portée par la société EMME, représente un danger absolu pour les populations, la biodiversité et l’environnement en cas d’accident. Ne pas prendre en considération le risque d’inondation majeur, qui ne peut qu’augmenter dans les années à venir, est un acte irresponsable au regard du principe de précaution.
Alors stopper ça d'urgence
Cordialement
N° 114 : 18 decembre 2025 - 18:49
Auteur : Francoise Beauvois
Organisation : Sans
Son avis : Défavorable
Je pense dangereux et irresponsable d'installer une usine à risque au coeur dix Bordeaux
N° 113 : 18 decembre 2025 - 18:41
Auteur : Thibaut Vonthron
Son avis : Défavorable
La reconquête de l’autonomie et de la souveraineté industrielle de notre pays et de l’Europe passe par une nécessaire relocalisation industrielle et l’implantation sur le territoire national d’un certain nombre d’activités. En ce qui concerne le développement des véhicules électriques, il pointe cruellement notre dépendance en particulier vis-à vis des producteurs asiatiques.
Dans ce contexte, l’objectif de la société EMME est de transformer du nickel et du cobalt, métaux dits critiques, d’un état métallique à un état chimique (sous forme de sel). Pour ce faire l’entreprise souhaite s’implanter sur le site de Grattequina situé à 3,5 km de notre commune.

En tant que riverain du projet, et après lecture des éléments fournis pour la concertation préalable, il me semble impératif d'appeler à une vigilance accrue sur les aspects suivants :

Risques industriels et sécurité
- Classement Seveso seuil haut
L’usine sera classée Seveso seuil haut, impliquant la manipulation de produits chimiques hautement toxiques et solubles dans l'eau, avec des risques accrus en cas d'accident industriel.
- Inondations et gestion des eaux.
Le site est situé en zone inondable. Bien que des remblaiements soient prévus, le risque de débordement des eaux polluées demeure, menaçant l'environnement et la santé publique. De même le risque d’inondation du site n’est pas totalement exclu.

Environnement et biodiversité
- Artificialisation des sols
L'implantation du projet entraînera la transformation de terres agricoles et de zones naturelles sensibles, notamment une partie du site Natura 2000 et des terres agricoles, ce qui soulève des préoccupations écologiques majeures. Cela au moment même où les communes sont contraintes par les interdictions de construction liées au zones inondables sur le même type d’espaces.
- Impact sur les écosystèmes locaux
La proximité de l'estuaire de la Gironde expose les écosystèmes aquatiques à des risques de pollution, affectant la faune et la flore locale.

Aspects économiques et sociaux
- Modèle économique et pérennité
Des interrogations subsistent sur la viabilité économique du projet, notamment en raison de la baisse de la demande pour certaines technologies de batteries, ce qui pourrait remettre en cause la rentabilité à long terme.
- Création d'emplois
Bien que le projet annonce la création de 200 emplois, il est essentiel d'évaluer la qualité et la durabilité de ces emplois, ainsi que leur impact sur le tissu économique local.

Gouvernance et concertation
- Transparence du processus
La saisine de la Commission Nationale du Débat Public (CNDP) est un pas vers une concertation démocratique, mais il est crucial de garantir une participation effective des citoyens et des parties prenantes locales.
- Compatibilité urbanistique
La modification du Plan Local d'Urbanisme Intercommunal (PLUI) pour permettre l'implantation du projet nécessite une analyse approfondie des impacts à long terme sur le développement urbain et rural du secteur.

En conclusion, bien que le projet présente des avantages potentiels en termes de transition énergétique, il apparaît essentiel de peser soigneusement les risques environnementaux, industriels et sociaux. Les points de vigilance soulevés plus haut doivent être éclaircis pour permettre une analyse complète et objective du projet.
Par ailleurs une réflexion aurait pu être engagée sur un site alternatif dans la région.
Une vigilance continue et une participation active au débat public sont nécessaires pour assurer que les intérêts de la communauté locale soient pleinement pris en compte.
N° 112 : 18 decembre 2025 - 18:13
Auteur : Nathalie SOCQUET-JUGLARD
Son avis : Défavorable
Non à cette implantation d’une SEVESO seuil haut, la liste des aberrations est longue :

Implantation en bordure de Garonne sur zone inondable : la construction d’une pseudo digue n’est pas une solution pérenne face à la montée des eaux
On ne peut pas y construire une maison mais une usine SEVESO seuil haut, c’est possible, comprenne qui peut…

Implantation en bordure de Garonne : risque de pollution des eaux et de toute la zone et ceci ne concerne donc pas que Parempuyre et Blanquefort.

Zone agricole et Natura 2000 du Parc des Jalles : rien à rajouter, les mots suffisent, c’est tellement évident et aberrant.…

Pollution atmosphérique de poussières : ça, on le découvrira malheureusement trop tard.

Le risque Zéro n’existe pas : danger majeur pour les populations, la biodiversité et l’environnement en cas d’accident : on ne peut jamais exclure un accident industriel (on se rappelle tous d’ AZF en 2001 et Total à l’étang de Berre en 1992 , pour ne citer que la France et les plus récents…)

Oui, une telle usine peut être un atout pour une souveraineté nationale dans le domaine des batteries NMC mais pas sur une zone agricole et Natura 2000, en bordure d’un fleuve, en zone inondable, quasiment en zone urbanisée ==> trop de risques et trop de carences dans le dossier conformément à l’analyse Conseil national de protection de la nature (CNPN) en novembre 2025

Et, la GRANDE QUESTION : est-ce vraiment le bon choix, cette technologie au final ???
N’y-a-t-il pas d’autres solutions comme technologie lithium-fer-phosphate (LFP), avec une chimie qui limite le recours à des métaux coûteux, à commencer par le cobalt et le nickel ??? Ou bien des batteries Sodium-ion ??
Donc nouveau risque : investir dans une technologie en déclin (d’autres pays investissent dans d’autres technologies, cela interpelle sur la stratégie de nos Enarques…)

Tout cela ne serait-t-il pas qu’une affaire de gros sous et politisée ? Car pour modifier un PLU avec cette ampleur, la question se pose, non ? Et au passage, un peu de taxes pour renflouer les caisses de Parempuyre ?
N° 111 : 18 decembre 2025 - 17:55
Auteur : Francoise Beauvois
Organisation : Sans
Son avis : Défavorable
Je pense dangereux et irresponsable d'installer une usine à risque au coeur dix Bordeaux
N° 110 : 18 decembre 2025 - 17:39
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Je suis fermement opposé à la construction d’usines polluantes à proximité d’une agglomération.
N° 109 : 18 decembre 2025 - 17:31
Auteur : Jérôme COUJATY
Organisation : VERMILION
Son avis : Favorable
Les projets permettant de réduire, même légèrement, notre dépendance à l'import sont bonnes à prendre.
N° 108 : 18 decembre 2025 - 17:14
Auteur : Annie Cugnet
Son avis : Défavorable
Bonjour

Je ne comprends pas l implantation d une usine seveso sur site inondable surtout dans ce contexte de réchauffement climatique annonçant une montée des eaux déjà prévisibles et visibles sur parempuyre et bordeaux. Le risque de pollution est énorme.d Des explosions ont déjà été relevées sur ce type d usine. Ce n'est qu une question de temps. Et si le projet s installe et que suite sur aléas climatiques,l usine ferme . Il n y aura comme d habitude aucune depollution du site. De plus, parempuyre est déjà très enclavé et subit de nombreux embouteillages. Ce projet va rendre la vie invivable au quotidien. Je trouve ce projet mal pensé , purement politique. Parempuyre coincé entre les risques réguliers de la centrale nucléaire de blaye et une usine seveso .......
N° 107 : 18 decembre 2025 - 17:01
Auteur : Sylviane Thiébaut
Son avis : Défavorable
Cette installation à haut risque chimique, portée par la société EMME, représente un danger absolu pour les populations, la biodiversité et l’environnement en cas d’accident. Ne pas prendre en considération le risque d’inondation majeur, qui ne peut qu’augmenter dans les années à venir, est un acte irresponsable au regard du principe de précaution. C'est la raison pour laquelle je suis opposée à cette installation
N° 106 : 18 decembre 2025 - 17:00
Auteur : Fabienne JANNEAU
Son avis : Défavorable
Le site choisi par Electro Mobility Materials Europe (EMME) est en zone inondable, à proximité directe de la Garonne, de la nappe alluviale et de jalles. Le risque de contamination des sols et des eaux par l’usine de conversion de nickel et de cobalt est extrêmement élevé avec des conséquences potentiellement graves pour la santé humaine et la biodiversité.
Classée SEVESO seuil haut, l'usine pourrait non seulement provoquer des fuites de substances toxiques dites sulfates, accroître le risque d’inondations et impacter directement la qualité de vie et la sécurité des habitants.. Sur un site classé Natura 2000.
N° 105 : 18 decembre 2025 - 16:57
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Un site SEVESO en zone inondable est une aberration. Cela comporte trop de risque pour la santé des riverains mais aussi de l'environnement. Avis défavorable
N° 104 : 18 decembre 2025 - 16:24
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
La construction de ce site sur ce terrain dans un contexte de monté des eaux mais en danger l'ensemble des habitants de l'agglomération.
N° 103 : 18 decembre 2025 - 16:24
Auteur : Julien Tastet
Son avis : Défavorable
Non à l’usine classée Seveso, ce site est à l’origine une zone inondable et non constructible. Le risque de pollution de cette usine est inapproprié avec ce site en bordure de Garonne.
Notons de plus que Bassens Ambès sont déjà des zones classées Seveso ou de nombreuses friches perdure dans ce secteur.
N° 102 : 18 decembre 2025 - 16:05
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Une usine utilisant ou produisant des produits dangereux n'a rien à faire sur une zone inondable.
N° 101 : 18 decembre 2025 - 16:05
Auteur : Philippe Sauty
Son avis : Défavorable
Bonjour,
j’émets un avis défavorable à ce projet industriel.
l’État s’apprête à autoriser l’implantation d’une raffinerie classée Seveso « seuil haut » sur le territoire des communes de Parempuyre et de Blanquefort, sur un terrain situé dans le lit majeur de la Garonne, en pleine zone d’expansion des crues. Cette zone agricole, inscrite au Plan de Prévention des Risques d’Inondation, protège des inondations d’autres zones plus densément peuplées.
Cette installation à haut risque chimique, portée par la société EMME, représente un danger absolu pour les populations, la biodiversité et l’environnement en cas d’accident. Ne pas prendre en considération le risque d’inondation majeur, qui ne peut qu’augmenter dans les années à venir, est un acte irresponsable au regard du principe de précaution.
Cordialement.
Philippe Sauty.
N° 100 : 18 decembre 2025 - 15:58
Auteur : Gwénaël GEORGES
Son avis : Défavorable
Bonjour. SEVESO en zone inondable = non ferme et définitif
N° 99 : 18 decembre 2025 - 15:32
Auteur : anonyme
Son avis : Ne se prononce pas
En effet je comprends les avis défavorables car les personnes veulent préserver ce site là mais ils accepteraient que l implantation se fasse AILLEURS
car il faut évidement des sites de ce type pour favoriser la mobilité électrique que certains veulent faire progresser et qui va aller en progressant;

donc on peut être aussi favorable mais à condition ....

le problème est de savoir ou implanter un tel site ?
N° 98 : 18 decembre 2025 - 15:23
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Le tout électrique ne sera pas pour 2030 cela est annoncé et à mon avis c'était une utopie car de nombreuses choses encore pas au point et les utilisateurs de véhicules pas très enthousiastes. Tout cela a un coût et il serait bien que les autorités qui gouvernent se mettent en adéquation avecla realité. Donc aucune urgence pour ce type de projet. Les USA retropedalent .
La Chine sera la grande gagnante dans ce tout électrique elle est compétitive et peut fournir en masse. C'est un pas de plus vers le démantèlement de l'Europe qui ne peut pas suivre.!!!!!
N° 97 : 18 decembre 2025 - 15:20
Auteur : Maria Vasilyeva
Son avis : Défavorable
l’État s’apprête à autoriser l’implantation d’une raffinerie classée Seveso « seuil haut » sur le territoire des communes de Parempuyre et de Blanquefort, sur un terrain situé dans le lit majeur de la Garonne, en pleine zone d’expansion des crues. Cette zone agricole, inscrite au Plan de Prévention des Risques d’Inondation, protège des inondations d’autres zones plus densément peuplées.

Cette installation à haut risque chimique, portée par la société EMME, représente un danger absolu pour les populations, la biodiversité et l’environnement en cas d’accident. Ne pas prendre en considération le risque d’inondation majeur, qui ne peut qu’augmenter dans les années à venir, est un acte irresponsable au regard du principe de précaution.
N° 96 : 18 decembre 2025 - 15:11
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Inadmissible que l'état autorise l’implantation d’une raffinerie classée Seveso « seuil haut » sur le territoire des communes de Parempuyre et de Blanquefort, sur un terrain situé dans le lit majeur de la Garonne, en pleine zone d’expansion des crues. Cette zone agricole, inscrite au Plan de Prévention des Risques d’Inondation, protège des inondations d’autres zones plus densément peuplées.

Cette installation à haut risque chimique, portée par la société EMME, représente un danger absolu pour les populations, la biodiversité et l’environnement en cas d’accident.

Même combat avec l'implantation d'une ferme usine de saumons de type SEVESO sur la commune du Verdon sur Mer, que veut-on? Des catastrophes industrielles en chaîne?

Pour celà je pose un avis DEFAVORABLE
N° 95 : 18 decembre 2025 - 15:04
Auteur : Philippe Sizun
Son avis : Défavorable
ce projet n'est ni bon pour la nature, ni bon pour les humains habitant à proximité. Faire une usine SEVESO en site inondable...protégée par une digue qui va se détériorer avec le temps et qui ne suivra pas la montée inéluctable (grâce à l'humain) des océans, donc des fleuves... qui évitera une catastrophe. De plus, le véhicule électrique est plus polluant à fabriquer et recycler que le véhicule thermique.
N° 94 : 18 decembre 2025 - 14:57
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Pour avoir devant chez moi une usine SEVESO et de nouvelles entreprises côté à côte je suis totalement défavorable. Car en réalité il y a de beaux dépassements dans l'air. Alors quand on voit les problèmes de santé que cela peut donner je ne le souhaite pour personne. La terre souffre et c'est mon avis ça n'engage que moi mais il faudrait arrêter de continuer dans cette voie, on va droit au mur et quand autour de moi je n'entends parler que de cancers y compris pédiatriques eh bien je me dis que l'homme va parvenir à créer sa propre extinction. Nous sommes les gardiens de la terre pour nos enfants pas les propriétaires. C'est beau ce que l'on va leur laisser, et qu'ils vont subir sans même l'avoir creer
N° 93 : 18 decembre 2025 - 14:54
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Ce projet n'a pas raison d'être et recueille l'opposition desxriv
N° 92 : 18 decembre 2025 - 14:53
Auteur : Isabelle DUCLOS
Son avis : Défavorable
Oui: nous avons besoin de nickel et de cobalt pour la mobilité électrique.
Non: nous refusons que sa production représente une menacepour la population et pour l'environnement.
L'entreprise concernée doit prendre en compte ces critères de danger potentiel, et ce d'autant plus qu'il y a déjà eu en France des accidents dus à des sites classés Seveso, avec des conséquences désastreuses.
Les décideurs peuvent-ils tirer des leçons des évènements passés? Ou ne peuvent-ils que répéter leurs erreurs et rester dans le déni?
N° 91 : 18 decembre 2025 - 14:50
Auteur : Gilles Bas
Son avis : Défavorable
Non a l'implantation de l'usine EMME classée risque "Seveso" seuil haut en zone inondable. Comme c'est connu et documenté, les usines type "Sévéso" produisent et stockent des substance dangereuses pour le Vivant...
N° 90 : 18 decembre 2025 - 14:29
Auteur : CELINE MAITRE
Son avis : Défavorable
Ce projet me semble être une aberration d'un point de vue écologique. Je comprends le besoin de dynamiser le secteur et notamment le port de Bordeaux d'un point de vue économique, mais l'aspect financier ne doit pas primer sur le reste. Le port de Grattequina est classé comme zone inondable ce qui signifie que l'usine serait exposée à des risques de submersion et de pollution des eaux.
Le raffinement de cobalt et de nickel est un processus industriel lourd qui génère des déchets toxiques et des émissions polluantes, qui pourraient contaminer les sols, les eaux et l'air de la région. (+ proximité des zones résidentielles et des espaces naturels).
Cela pourrait également entrainer une dévalorisation de la qualité de vie sur Parempuyre.

Il me semble plus judicieux d'envisager pour cette usine, un site industriel déjà aménagé, et moins sensible d'un point de vue environnemental.
N° 89 : 18 decembre 2025 - 13:19
Auteur : Gaëtan Condemine
Son avis : Favorable
Je suis favorable à la création d'une usine de traitement des matériaux pour les batteries de véhicules électriques. Il en va de l'économie régionale, nationale et européenne. Le lieux est le seul disponible sur la Garonne .
N° 88 : 18 decembre 2025 - 11:56
Auteur : Xavier AMEILHAUD
Son avis : Favorable
J’aimerais exprimer mon soutien au projet d’unité de conversion de nickel et cobalt pour la mobilité électrique dénommé « EMME ».
Depuis au moins une dizaine d’années, l’attention des citoyens de l’Union Européenne, et des Français plus particulièrement, se porte fortement sur le développement durable. Depuis la crise du Covid, celle de la guerre en Ukraine et, plus récemment, la nouvelle stratégie nationale américaine, la question de la souveraineté n’a jamais été aussi importante.
Le transport a été identifié comme l’un des secteurs clés pour faire baisser notre empreinte environnementale. Dans ce sens, la mobilité électrique est apparue comme la plus vertueuse même si des interrogations restaient jusqu’ici soulevées par nombre de nos concitoyens : comment produire nos propres batteries et comment les recycler en France? Et ainsi, nous émanciper du monopole chinois dans ce domaine.
A mes yeux, le projet EMME répond à toutes ces interrogations.
En recyclant les batteries et en utilisant les matériaux issus de Nouvelle-Calédonie, l’usine se fournirait uniquement dans des territoires français et contribuerait à la souveraineté nationale dans ce domaine crucial. Les éléments produits serviraient pour la fabrication des batteries conçues dans les gigas usines du Nord de la France. Le projet EMME s’intègrerait donc dans une stratégie française de souveraineté en matière de conception de batterie. Par ailleurs, au moment où l’outre-mer s’invite régulièrement dans notre actualité à travers le prisme du manque de développement économique, ce projet soutiendrait l’activité en Nouvelle-Calédonie.
Localement, je ne peux que soutenir un projet de réindustrialisation qui prévoit la création de centaines de postes et donc des perspectives d’avenir pour de nombreuses familles ou de jeunes actifs autour de Blanquefort et Parempuyre.
Les prévisions dans le domaine des impacts environnementaux sont très rassurantes : aucun rejet dangereux, un suivi écologique, peu d’utilisation d’eau, déchets recyclés, pas de risque sanitaire pour les habitants ni le personnel. Enfin, le risque de submersion est pris très au sérieux grâce à la création d’une haute digue.
Pour toutes ces raisons et en tant que citoyen soucieux de l’avenir de mes proches, de celui de mes congénères et donc de celui de notre pays, je souhaite apporter mon soutien profond au projet EMME de création d’une structure de production de matériaux pour les batteries de véhicules électriques.
N° 87 : 18 decembre 2025 - 11:21
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Ce projet EMME est une aberration à plusieurs égards : opacité de la constitution du dossier, des consultations publiques, des acteurs parties prenantes, de l'avenir à moyen terme de cette usine, de la participation de fonds publics alors même que le pays traverse selon le gouvernement une crise budgétaire majeure nécessitant des coupes sévères dans des secteurs clés (santé, culture, éducation, soutiens associatifs...), grave artificialisation des sols sur un terrain agricole, en zone lit majeur de la Garonne... la liste est bien trop longue. Comment peut-on en arriver encore à nier à ce point l'environnement naturel et les individus ??
Je m'associe bien évidemment à la demande d'annulation de ce projet.
FP
N° 86 : 17 decembre 2025 - 22:14
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Défavorable
Si je souhaite construire une maison dans 1 zone inondable, 1 zone Natura 2000 et à côté d'1 usine Seveso seuil haut, on me l'interdira ! Alors pourquoi accepter la construction de ce projet sachant qu'il apporte, en plus, une grande menace pour l'environnement malgré une propagande avantageuse. Ne prenons pas les Parempuyriens pour des imbéciles ! Merci d'installer cette usine sur 1 terrain approprié.
N° 85 : 17 decembre 2025 - 19:55
Auteur : Julie Rolland Cournou
Son avis : Défavorable
Je m'oppose à ce projet qui me semble aller complètement à l'encontre du principe qu'il porte à savoir la protection de l'environnement. En effet cette usine devra s'implanter dans un espace de verduré et donc détruire celui-ci. Cette implantation va également générer un traffic conséquent de camions polluants et des embouteillages (les routes y donnant accès n'étant absolument pas adaptées) allant une fois de plus à l'encontre du respect de l'environnement.
N° 84 : 17 decembre 2025 - 18:31
Auteur : jean luc paret
Son avis : Défavorable
je ne comprends pas que l'on puisse encore se poser la question du bien fondé de ce projet ; il y des règlements et des lois qu'il convient d'appliquer ; l'implantation de cette usine classée SEVESO seuil haut est prévue dans une zone inondable d'expansion de crues et est constituée de zones humides et terres agricoles;ces zones humides sensibles accueillent des espèces végétales et animales.
en outre ce projet est au milieu du Parc naturel des Jalles!!
on envisage donc de modifier le PLU et le PPRI au profit d'hommes d'affaires qui ne voit que le PROFIT ! on nous parle de création d'emplois : je ne suis pas sur que les emplois d'expert et qualifiés qui seront demandés apporteront de l'emploi aux locaux...
N° 83 : 17 decembre 2025 - 16:01
Auteur : Jean-Marc LABORDE
Son avis : Défavorable
une technologie en déclin : les batteries nickel-manganèse-cobalt (NMC).
Les géants du secteur s’en détournent au profit de la technologie lithium-fer-phosphate (LFP), beaucoup moins coûteuse.
Même virage chez les constructeurs : après Renault, Stellantis se retire d’un projet de gigafactory NMC en Italie.

Et donc le projet Emme vise à soutenir un investissement vers une technologie mort-née. Par ailleurs on note un déclin important de l'option voiture électrique avec en particulier la prorogation du thermique après 2030 ! Ce n'est plus un projet visionnaire mais une approche qui veut favoriser des intérêts particuliers.
N° 82 : 17 decembre 2025 - 14:07
Auteur : ALAIN BA
Son avis : Défavorable
Bonjour,
Quelle est l'utilité de ce projet sur le territoire ?
Dégradations environnementales conséquentes sur un milieu estuarien
à préserver car la Presqu'ile d'Ambes est déjà fortement industrialisée?
proximité de la zone NATURA 2000.
Le projet en novembre a eu un avis défavorable du Conseil national de protection de la nature (CNPN)
révélant des carences sur les impacts sur
les espèces locales et/ou protégées et le manque d’alternatives à l’implantation choisie.
Des Zones de compensation ne doivent se faire que si le "E" de ERC a été non réalisable,
et ce projet PEUT être évité.
L'aspect emploi ne concernera que trop de gens, en outre les classes sociales qui pourraient
être intéressées, c'est à dire les classes populaires ou moyennes inférieures n'auront aucun
gain sur des structures demandant à majorité du personnel déjà hautement qualifié... ou alors
les autres manutentionnaires seront payés au lance-pierre comme pour ne pas le citer
"Amazon". Les emplois non garantis ne sont donc pas un critèré économique !!
Pour le critère technologique, outre le fait, que l'exploitation et utilisation de minerais rares
est partout sur la planète l'exemple de catastrophes écologiques, il existe aussi des solutions
à base de sodium beaucoup moins impactantes.
Mais comme toutes les autres raisons citées auparavant, il faudrait repenser le concept
de l'électrique dans son ensemble, changer de paradygme, inclure des vraies autorisations
environnementales et non pas des ersatz pour se dédouaner de ses obligations industrielles,
et respecter les décisions des acteurs territoriaux, citoyens et associatifs.
Quid aussi de l'aggravation du risque inondation? ce n'est pas parce que le site est protégé,
que l'aléa ne trouvant pas de zone où s'étaler va aggraver ailleurs, amont/aval, l'érosion
et les niveaux d'eau !
Quid aussi des pollutions atmosphériques ? Des cheminées à plus de 35m n'exonère pas pas "l'effet
dilution" des retombées de particules contaminantes...
Quid aussi de la consommation et gestion de la ressource en eau, ce genre d'industrie n'a jamais
été frugale en eau, en outre l'impact des rejets si ce n'est dans des concentrations de métaux
qui ne sont pas légiférées de manière précise pour les eaux de rejets, sont autorisées
pour des rejets avec des deltas trop importants en température aussi, ce qui modifie considérablement
la faune et flore des écosystèmes.
Merci donc de ne pas autoriser ce projet !!
N° 81 : 17 decembre 2025 - 12:33
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Oui à la reindustrialisation de la France
Oui à des industries respectant la réglementation environnementale française, une des plus stricte au monde
Oui à l'emploi

Que les opposants nous expliquent comment desendetter la France sans reindustrialisation.
N° 80 : 17 decembre 2025 - 11:09
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Avis d’opposition à l’implantation de l’usine EMME à Parempuyre
Bien que le projet EMME affiche des objectifs positifs en matière de transition énergétique et de mobilité électrique, l’implantation de cette usine à Parempuyre, zone reconnue comme inondable, soulève de sérieuses préoccupations environnementales, sanitaires et territoriales.
Le territoire de Parempuyre, situé à proximité d’un estuaire et d’une zone industrialo-portuaire, est exposé aux risques d’inondation et aux événements climatiques extrêmes. En cas de crue, la présence de substances potentiellement dangereuses, telles que le nickel, le cobalt et d’autres composés chimiques, pourrait entraîner une contamination des eaux de surface et des nappes phréatiques, avec des conséquences graves et durables pour les écosystèmes et les populations locales.
Le risque de pollution de l’eau représente également une menace directe pour la santé et la qualité de vie des riverains. Les métaux lourds peuvent s’accumuler dans la chaîne alimentaire et affecter l’eau potable. Même avec des dispositifs de sécurité renforcés, le risque zéro n’existe pas et les habitants seraient les premiers exposés en cas d’accident industriel.
Par ailleurs, dans un contexte de changement climatique, la fréquence et l’intensité des inondations sont appelées à augmenter. Installer une installation industrielle manipulant des matériaux sensibles dans une zone à risque est contraire au principe de précaution et aux objectifs d’un développement réellement durable.
En outre, je réside à Parempuyre depuis plus de quatorze ans. Comme de nombreux habitants, je suis profondément attachée à ce village, à son cadre de vie et à son identité. Parempuyre est avant tout une commune à vocation agricole et résidentielle, et l’implantation d’un site industriel de cette ampleur ne correspond pas à l’esprit ni au projet de territoire porté par ses habitants.
Enfin, un tel projet industriel entraînerait inévitablement une augmentation significative du trafic routier (poids lourds, transports de matières premières, déplacements professionnels), aggravant la congestion, les nuisances sonores et la pollution, au détriment de la qualité de vie locale.
Pour l’ensemble de ces raisons, en tant qu’habitante de longue date, j’exprime mon opposition à l’implantation de l’usine EMME à Parempuyre et demande une réévaluation sérieuse et transparente du choix du site, en concertation avec les riverains.
N° 79 : 17 decembre 2025 - 11:02
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Arrêtons de crier avant d'avoir mal. Arrêtons de subir les injonctions paradoxales. Ce pays, l'Europe, ont nécessairement besoin de se réindustrialiser et pas uniquement en armement. Les conditions requises sont respectées, plus que contrôlées pendant et après sa construction. Ce pays crève des positions de principe.
N° 78 : 17 decembre 2025 - 09:24
Auteur : Pierre Uguen
Son avis : Défavorable
Je suis CONTRE ce projet SEVESO aux portes du Medoc !
Allez l'installer ailleurs mais pas ici !
N° 77 : 17 decembre 2025 - 08:39
Auteur : jean luc. lancelevee
Son avis : Défavorable
deux raisons essentielles à cet avis défavorable:
l'impact environnemental de ce projet dans un espace sensible
un projet qui ne prépare pas l'avenir car basé sur des technologies déjà obsolètes
N° 76 : 17 decembre 2025 - 08:22
Auteur : JEAN MARIE LABOYRIE
Son avis : Défavorable
J'apporte une précision importante à la contribution n° 6 de M.Gautier président du groupe Alcom. Quand il écrit que plus de 600 contributions ont été recueillies, il omet de préciser que 99% d'entre elles étaient défavorables au projet Emme et pour la plupart très bien argumentées. Il est important de rappeler que l'omission peut être assimiler à un mensonge. Cependant je veux bien ici accorder le bénéfice du doute à M. Gautier président du groupe Alcom.
N° 75 : 17 decembre 2025 - 08:14
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Défavorable au projet
N° 74 : 17 decembre 2025 - 00:28
Auteur : Isa Mer
Son avis : Défavorable
Bonjour . En tant que résidant en Médoc depuis 40 ans , navigatrice de surcroît, je vous demande de ne pas donner suite z ce projet trop dangereux pour la Nature notre mère nourricière . Les poissons sont déjà si malheureux qu'ils disparaissent . L'usine emme est susceptible d'être inondée a tout moment . C'est trop de risques ! Non à ce projet dément !
N° 73 : 16 decembre 2025 - 23:25
Auteur : Dominique Pages
Son avis : Défavorable
Défavorable à ce projet
N° 72 : 16 decembre 2025 - 21:53
Auteur : Audrey Lestage
Son avis : Défavorable
Une aberration... Pourquoi choisir un site inondable pour une usine seveso à seuil haut ?
N° 71 : 16 decembre 2025 - 21:03
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Je suis totalement un projet qui va à l encontre de l environnement et du bien être des habitants.
N° 70 : 16 decembre 2025 - 20:53
Auteur : Elinka Betinsky
Son avis : Défavorable
Je m'oppose catégoriquement à ce projet d'usine SEVESO SEUIL HAUT. Il est inconcevable de créer une usine présentant des obligations strictes en matière de sécurité,sur une zone humide inondable.
Cette zone humide, de surcroît, est le refuge d'espèces protégées en voie d'extinction.... Il est inadmissible de détruire cette biodiversité.
N° 69 : 16 decembre 2025 - 20:51
Auteur : Elinka Betinsky
Son avis : Défavorable
Je m'oppose catégoriquement à ce projet d'usine SEVESO SEUIL HAUT. Il est inconcevable de créer une usine présentant des obligations strictes en matière de sécurité,sur une zone humide inondable.
Cette zone humide, de surcroît, est le refuge d'espèces protégées en voie d'extinction.... Il est inadmissible de détruire cette biodiversité.
N° 68 : 16 decembre 2025 - 20:42
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Je pose un avis DÉFAVORABLE à ce projet, un site sévère au milieu de la population ne semble pas pertinent
N° 67 : 16 decembre 2025 - 20:36
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Contre!
N° 66 : 16 decembre 2025 - 20:31
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Absolument défavorable !!!
Empoisonnement de l’air « à des mesures tolérables »
Nos maisons vont drastiquement perdre de la valeur
600 voitures par jour au niveau de Labarde, aller travailler va devenir un vrai cauchemar…
Zone inondable et sujet à de multiples problèmes
Cette usine est dangereuse et n’a rien à faire là !!!
N° 65 : 16 decembre 2025 - 19:44
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Nous sommes déjà tres entourés par des usines a hauts risques. On nous assure qu'en cas de problemes, les problemes resterons a l'intérieur des murs de l'usine. Sont trop forts les concepteurs!
pourquoi s'implanter dans un espace proteger ???? Les plans sont magnifiques mais vous presentez une vegetation a maturité, il faudra attendre qq annees avanr que cette horreur soir cachée. Les emplois .. tres peu seront couverts par parempuyre. Peut etre que seule la taxe professionnelle est interessante pour combler les dettes de la commune. En terme d'accès, la route est deja saturée et tres accidentogene.
N° 64 : 16 decembre 2025 - 19:30
Auteur : Régis Labasse
Son avis : Défavorable
Je suis contre ce projet industriel car l endroit choisi est dangereux pour l environnement et il y a un risque de sécurité pour des habitants car entreprise sèveso
N° 63 : 16 decembre 2025 - 19:30
Auteur : Magali Brunner
Son avis : Défavorable
Une aberration de construire dans une zone natura 2000. Une aberration que ce soit un projet d'intérêt public alors que l'Etat laisse crever bien d'autres industries existantes.
Non, pas d'usine de cobalt venant de l'autre bout du monde, ni ici, ni ailleurs
N° 62 : 16 decembre 2025 - 18:55
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Pour l'industrialisation mais contre le lieu choisi
C'est comme mettre une allumette à côté du gaz. On utilise le feu loin des inflammables, pourquoi une telle prise de risque !! Contre le projet à cet endroit.
N° 61 : 16 decembre 2025 - 18:28
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Inadmissible.
N° 60 : 16 decembre 2025 - 18:21
Auteur : veronique othily
Son avis : Défavorable
bonjour je ne veux pas de cette usine dans notre campagne. L'eau va être polluée, ça va toucher à la faune. Pendant des années on a mangé des poissons de la Garonne, l'air va être pollué et il y a assez de cancers comme ça je suis contre se projet. C'est abattre des bois et la nature en a besoin. Respectons ce que dame nature nous a donné. Je vous passe le reste : pollution de l'air avec les particules fines de métaux lourds et toxiques, etc...
N° 59 : 16 decembre 2025 - 17:56
Auteur : Camille Goudal
Son avis : Défavorable
​Je réside à Saint-Louis-de-Montferrand, située sur la rive opposée, en face directe du site du projet EMME. Je tiens à exprimer mon avis défavorable à ce projet d'implantation industrielle pour les raisons suivantes :
​Aggravation du risque inondation (Rive Droite) : Le projet prévoit l'imperméabilisation et le remblaiement d'une zone inondable majeure en rive gauche. En réduisant le champ d'expansion des crues de ce côté, le volume d'eau se reportera mécaniquement vers la rive opposée, augmentant dangereusement la pression sur les digues de Saint-Louis-de-Montferrand et le risque de submersion pour nos habitations.
​Risques sanitaires et atmosphériques : Les vents dominants d'Ouest porteront inévitablement les rejets atmosphériques (poussières potentielles de nickel/cobalt) vers notre commune. L'exposition des riverains à ces substances, combinée au classement SEVESO du site, constitue un risque inacceptable pour la santé publique.
​Atteinte à l'environnement (Natura 2000) : L'implantation de cette industrie lourde en bordure immédiate du site Natura 2000 de la Garonne menace l'équilibre écologique de l'estuaire et sa biodiversité.
​Nuisances sonores et visuelles : La configuration des lieux (plan d'eau) favorise la propagation du bruit vers notre rive. De plus, ce projet défigurera le paysage fluvial préservé face à notre commune.
N° 58 : 16 decembre 2025 - 17:21
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Je ne veux pas de cela a côté de chez moi
N° 57 : 16 decembre 2025 - 16:57
Auteur : CHRISTOPHE BEAU
Son avis : Défavorable
Une incohérence à vouloir rattraper sur du court terme la Chine sur les batteries électriques plutôt que de prendre de l’avance sur l’hydrogène ?

1. Retard technologique et industriel :
Les industriels chinois (CATL, BYD, etc.) ont 10 à 15 ans d’avance dans la fabrication de batteries lithium-ion. Ils maîtrisent toute la chaîne : extraction des matières premières, chimie des cellules, industrialisation, recyclage. Essayer de les rattraper maintenant revient à entrer dans une course perdue d’avance sur leur propre terrain.

2. Domination sur les matières premières :
La Chine contrôle une grande partie de l’approvisionnement mondial en lithium, cobalt et nickel, indispensables aux batteries actuelles. Même si l’Europe fabrique des batteries, elle dépend toujours de chaînes d’approvisionnement extérieures, souvent instables ou contrôlées par des puissances concurrentes.

3. Invasion du marché européen :
Les constructeurs chinois inondent déjà le marché européen avec des véhicules électriques performants et bien moins chers. L’arrivée massive de ces véhicules rend difficile l’écoulement des modèles européens, pourtant plus coûteux à produire localement.

4. Obsolescence potentielle de la technologie :
Alors que l’Europe tente de bâtir une industrie des batteries lithium-ion, la Chine investit déjà massivement dans d'autres technologies (batteries solides, sodium-ion, etc.) ou même au-delà, vers l’hydrogène ou d'autres solutions de rupture.

________________________________________
Une meilleure stratégie ? Miser sur l’hydrogène ?

• Hydrogène = créneau encore ouvert : L’Europe, notamment la France et l’Allemagne, a encore une carte à jouer sur l’hydrogène vert (produit par électrolyse avec des énergies renouvelables), notamment pour les usages lourds (camions, trains, industrie).

• Moins de dépendance aux matériaux rares : Pas besoin de cobalt ou de nickel, et donc moins de dépendance vis-à-vis de la Chine ou de pays politiquement instables.

• Décarbonation plus large : L’hydrogène peut servir bien au-delà de la mobilité (chauffage, industrie lourde, stockage d’énergie), ce qui renforce sa valeur stratégique.

________________________________________
Conclusion :

Vouloir rattraper la Chine sur les batteries électriques peut s’avérer être une stratégie défensive, coûteuse et probablement vaine. Une approche plus intelligente serait de sauter une génération technologique et concentrer les investissements publics et privés sur des technologies où l’Europe peut encore prendre la tête, comme l’hydrogène vert ou les batteries de rupture (solide, sodium, etc.).
N° 56 : 16 decembre 2025 - 16:55
Auteur : Muriel Bichindaritz
Son avis : Défavorable
Ce projet coche toutes les cases contre lui. C est un dossier SEVESO implanté en zone agricole inondable et Natura 2000 indispensables pour réguler les inondations. Le projet et les financements ne sont pas clairs , il ne rentre pas du tout dans les critères PINM. Toutes ces raisons et les risques industriels pour les populations environnantes font que ce projet n est pas envisageable à cet endroit.
N° 55 : 16 decembre 2025 - 16:26
Dépôt par mail
Bonjour. Suis opposée au projet de l'implantation de l'usine EMMÉ. Zone inappropriée pour une usine Seveso car terrain reconnu inondable. Population soi- disant consultée et décret d'utilité d'intérêt public promulgué!! Non à cette usine qui diminuera la qualité de vie de la commune. Cordialement. 


Envoyé depuis mon téléphone


Mail receptionné le 15/12/2025 à 12:43
N° 54 : 16 decembre 2025 - 16:06
Auteur : Thomas Nicoli
Son avis : Défavorable
.
N° 53 : 16 decembre 2025 - 15:48
Auteur : christine TANQUEREY
Son avis : Défavorable
Je sui défavorable et terriblement inquiète par ce projet EMME qui me semble totalement délirant, moi qui suis rochelaise d'origine et qui ai vécu les affres de la tempête Xynthia en 2010. j'ai été sidérée, au sens propre! Je suis restée sans voix d'entendre les beaux messieurs me dire que tout est sous contrôle et que cette usine de produits miscibles dans l'eau, construite en zone inondable et submersible, ne serait jamais inondée. Qu'il suffisait de construire un tertre... bien tassé alors! Depuis quand la mer en furie est-elle arrêtée par un talus de terre? Ce serait à pleurer de rire si ce n'était pas à hurler de désespoir. Sommes nous à ce point inconscient du risque que nous faisons courir à notre terre et que laisserons nous à nos enfants? J'ai honte et peur
N° 52 : 16 decembre 2025 - 15:43
Auteur : Christine Savanier
Son avis : Défavorable
Je suis contre l'implantation de ce projet en ce lieu.
Zone agricole, servant de " zones tampons" Face aux tempêtes et débordement de notre estuaire, de plus réservés florales faunistiques.
Non cet emplacement n'est pas approprié à moins de 800 m des premières habitations!
Cette implantation voulue par le grand port maritime de Bordeaux,pour récupérer à travers l'activité industrielle,l'investissement realisé il y a plus de 10ans (quai d'appontement terminal).
De plus, le procédé de fabrication des batteries est obsolète ou le sera, raison de plus pour éviter un gâchis environnemental, humain qui sera forcément préjudiciable pour notre santé.
Résolument Contre.
Une habitante voulant préserver l'environnement, la nature, l'équilibre nécessaire à la vie.
N° 51 : 16 decembre 2025 - 15:23
Auteur : Marie-Laure Godard
Son avis : Défavorable
Totalement défavorable à ce projet au regard de tout ce qui a déjà été décrit
N° 50 : 16 decembre 2025 - 14:56
Auteur : Muriel ALRIVIE
Son avis : Défavorable
Je suis contre l'implantation en zone inondable d'une usine de transformation de tonnes de minerais de cobalt et de nickel.
Un projet pour le développement de batteries plus écologiques, en zone industrielle, recevrait sans doute un meilleur accueil de la population bordelaise.
N° 49 : 16 decembre 2025 - 14:40
Auteur : Ludovic Coutant
Son avis : Défavorable
Bonjour,je donne un avis défavorable à ce projet,l'emplacement est très mal choisi. Le site présente une importante valeur patrimoniale faunastique, associée à des zone humides connectées directement à la Garonne, a des milieux boisés humides riches en oiseaux forestiers accueillant divers espèces floristiques et faunastiques rare.Certaines maires de villes comme Parempuyre mais également Bordeaux Métropoles ont conditionné leur approbation a 23 demandes de Garanties. La maire de Parempuyre, Béatrice de Francois, Bordeaux Métropoles et les autres qui ont voté pour ce projet dont le choix de l'emplacement est une catastrophe, ces villes et ces responsables peuvent-ils expliquer à leurs populations comment vont ils exiger que ces 23 demandes de garanties soit respectées. Que font ils concrètement pour suivre leur applications ? Les habitans doivent interroger leur Maire sur cette question et publiquement !! Mais aussi les candidats qui se présentent aux elections municipales de 2026 !!! Ils doivent se positionner clairement sur ce projet. Cordialement Ludovic Coutant.
N° 48 : 16 decembre 2025 - 14:19
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Qu'en est-il de la préservation de toutes ressources nécessaires à la vie ?
Où se trouve le respect du vivant au sens le plus large qui soit ?
Qu'allons laisser à nos enfants ?
Comme le disait si bien Pierre Rabhi :
" Seulement après que le dernier arbre aura été coupé, que la dernière rivière aura été empoisonnée, que le dernier poisson aura capturé, alors seulement vous découvrirez que l'argent ne se mange pas."
C'est tout.
N° 47 : 16 decembre 2025 - 13:53
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Je suis contre ce projet. Trop de risque environnemental, crues, pollution.
N° 46 : 16 decembre 2025 - 13:38
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Avis défavorable, car ce projet ne prend pas suffisamment en compte l’impact sur l’environnement et sur la population locale.
N° 45 : 16 decembre 2025 - 13:24
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Je suis défavorable à l'implantation de cette usine non sans risque dans une zone aussi proche des habitations
N° 44 : 16 decembre 2025 - 13:05
Auteur : Caroline Henriot
Son avis : Défavorable
Je suis définitivement défavorable a l'implantation de cette usine que ne pourra que nuire a la santé de nos enfants.
Cette usine serait trop pres des habitations.
N° 43 : 16 decembre 2025 - 12:43
Auteur : Ludivine Gault
Son avis : Favorable
Ce projet s’inscrit pleinement dans une stratégie nationale de souveraineté qu’il est impératif d’encourager pour le maintien d’un circuit industriel français et européen cohérent.
N° 42 : 16 decembre 2025 - 11:45
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Je suis défavorable à ce projet.
N° 41 : 16 decembre 2025 - 11:43
Auteur : felix fessard
Son avis : Défavorable
Est ce œuvrer pour l écologie et le bien être commun en artificialisant un site naturel sensible afin de fabriquer des batteries électriques pour des véhicules pesant 2,5 tonnes devenus de vrais chars d assaut , est ce cela le progrès ? je suis convaincu du contraire et c est la raison pour laquelle je m oppose à ce projet .
N° 40 : 16 decembre 2025 - 10:48
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Favorable à l implantation
N° 39 : 16 decembre 2025 - 10:23
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Risque d'inondation d'un site SEVESO. le site, en lui-même est un risque majeur mais se verra en plus exposés à ce risque naturel, de plus en plus violet dans les années à venir avec la montée des eaux.
Le SCOT de Bordeaux Métropole interdit toute urbanisaƟon dans les zones de rétenƟon de
crues.
Le projet détruirait des zones de compensaƟon hydraulique et contredirait les prescripƟons
préfectorales antérieures (bande boisée, passages à faune, frênaie à préserver).


Les risque pour l'environnement sont colossaux :
- proximité d’une zone Natura 2000
- zones humides à protéger
- Proximité immédiate de la garonne, de l'océan

Pas d'intérêt public majeur

Ce qui nous permet de construire, de produire des objets, de nous déplacer sur le territoire, ne doit pas mettre en péril ce qui nous permet de vivre. Le plus vital pour l'être humain, c'est de manger et de boire de l'eau.

Pour rappel (et c'est non exhaustif) :

Aujourd'hui : la planète devient chaque jours un peu plus invivable :

- cancers (produits chimiques, pollution de l'air, pollution de l'eau, ...)

- quantité de nourriture disponible en chute libre (les poissons vivants se font rares, les poissons vivants sont pollués, les oiseaux se font rares, les sols sont pollués et ce que nous mangeons est souvent pollué, ...)

L'enjeu : revenir vers une planète vivable pour l'être humain.

Enjeu : la survie de l'espèce humaine en bonne santé.

Solutions : La planète doit être vivable pour un maximum d'êtres vivants (dont nous nourrissons)

Les richesses financières, sociales, environnementales, doivent être partagées le plus possible entre nous tous.

Le projet prend encore une fois la mauvaise direction.
N° 38 : 16 decembre 2025 - 09:36
Auteur : Anne Marie LABORDE
Son avis : Défavorable
Habitant Parempuyre depuis 50 ans, je suis défavorable à la construction d'une telle usine SEVESO haut risque, car malgré toutes les
informations rassurantes de la Société EMME le risque zéro n'existe pas, surtout située dans une zone inondable. à proximité de maisons d'habitation où les permis de construire ont toujours été refusés pour de nouvelles constructions.
N° 37 : 16 decembre 2025 - 09:15
Auteur : Sylvie Lim
Son avis : Défavorable
Ce projet est tout simplement une aberration écologique!
Implantation d'un site SEVESO sur un territoire classé natura 2000.
Faire venir de la matière première du bout du monde pour ensuite la renvoyer à l'autre bout du monde.

A quel moment ce projet est écologique ?? "Oui mais le projet EMME vise à produire des batteries pour les voitures électriques, donc écologique " nous dit-on.

Donc si j'ai bien compris on détruit un site naturel, sans parler des risques pour la population environnante en cas d'accident (car oui ça arrivera) au nom d'une souveraineté plus que discutable et de la transition écologique ?!

A quel moment on arrête de nous prendre pour des imbéciles ??
N° 36 : 16 decembre 2025 - 09:10
Auteur : Laurence Labasse
Son avis : Défavorable
Définitivement défavorable à ce projet proche des habitations.
N° 35 : 16 decembre 2025 - 09:09
Auteur : Philippe BOBRIE
Son avis : Favorable
Brillant projet qui s'inscrit dans la stratégie nationale de décarbonation et d’indépendance industrielle dans des secteurs clés, et s'appuie sur les facteurs locaux d'une logistique maritime bien établie et de l'attractivité avérée des compétences de la métropole bordelaise.
J'y suis favorable comme voisin, et comme conducteur depuis plusieurs années d'un véhicule électrique Renault Mégane e-Tech.
N° 34 : 16 decembre 2025 - 08:16
Auteur : Thomas Deléron
Son avis : Défavorable
Je ne souhaite pas voir cette usine s'implanter sur le territoire.
N° 33 : 16 decembre 2025 - 08:09
Auteur : Juliet Pecout
Son avis : Défavorable
Mon avis est définitivement défavorable à cette catastrophe climatique annoncée sur ces terres protégées.
N° 32 : 16 decembre 2025 - 06:55
Auteur : dominique thomas
Son avis : Défavorable
Emplacement non approprié pour ce type d'industrie, risque de pollution des nappes phréatiques
N° 31 : 16 decembre 2025 - 04:20
Auteur : Jean-Marc Farthouar
Son avis : Défavorable
Ce projet vise à l’indépendance énergétique de la France comment vous croire sachant que les matières brutes viennent de pays lointains à plus de 10000km dont l’Indonésie non certifiée IRMA victime d’aléas climatique .
Le Cobait dans quelques années n’existera plus en tant que minerai mais uniquement en produits recyclable sera t il suffisant pour alimenter la production de batteries NMC
Mais ces matériaux vont ils constituer la base des batteries montées sur les véhicules par exemple les batteries LFP sont montées sur la future Renault 5
Tous les produits utilisés sur le sites les entrants les sortants les produits nécessaires à la fabrication sont miscibles dans l’eau et le risque de pollution des eaux de la Garonne sont la d’autant plus que le trafic sera exclusivement maritime
N° 30 : 16 decembre 2025 - 00:06
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Une usine seveso niveau haut dans un estuaire le risque zero n'existant pas nos politiques ont sous-estimé les conséquences environnementales
N° 29 : 15 decembre 2025 - 22:37
Auteur : Tiffany Faessel
Son avis : Défavorable
Je suis défavorable à l’implantation de ce site sur une parcelle qui est dans une zone aussi proche d’habitations, d’un site naturel avec une grande biodiversité. Je pense que comme déjà évoqué dans des réunions à la CUB il y a d’autres endroits plus compatibles à l’activité.
N° 28 : 15 decembre 2025 - 22:18
Auteur : Marion Chelin
Son avis : Défavorable
Non on ne souhaite pas une telle usine dans notre périmètre. Pour nous,pour nos enfants.
N° 27 : 15 decembre 2025 - 22:09
Auteur : Tiffany Faessel
Son avis : Défavorable
Je suis défavorable à l’implantation de ce site sur une parcelle qui est dans une zone aussi proche d’habitations, d’un site naturel avec une grande biodiversité. Je pense que comme déjà évoqué dans des réunions à la CUB il y a d’autres endroits plus compatibles à l’activité.
N° 26 : 15 decembre 2025 - 21:42
Auteur : Rudy Lévêque
Son avis : Défavorable
Bonsoir, je suis contre ce projet pour plusieurs raisons.

La confiance : commencer à déclarer un projet à 298M€ pour ne pas se soumettre aux obligations légales de consultations publiques puis être ensuite obligés de le revaloriser à 500M€, ça me laisse plus que pensif...

Le vivant : le site choisit est une zone Natura 2000 où vivent faunes et flores en harmonie ruisselant la vie jusqu'aux Jalles et marais alentours. Cette usine va détruire des habitats naturels et fortement modifier cet équilibre poussant certainement les grands oiseaux tel que les cigognes de Parempuyre à fuir.

Le risque sanitaire et écologique : le site est une zone agricole, et non industrielle, non constructible car en zone inondable. Une usine surélevée certes mais pas les conteneurs de stockage des produits de nickel et cobalt raffinés, miscibles dans l'eau, toxiques et cancérigènes pour l'homme. Même si des normes seront mises en place, nous ne sommes pas à l'abri d'une erreur humaine, d'une catastrophe naturelle comme les tempêtes virulentes que nous subissons depuis plusieurs étés, des dissimulations de pollutions comme on a connu avec l'affaire Nestlé...

L'intérêt national reste à démontrer : 150M€ de subventions publiques à l'heure où on demande aux Français de se restreindre, de rendre des jours fériés, pour un projet apportant 200 emplois seulement quand des usines au Havre sur des sites plus adaptés au projet EMME ferment, est-ce sérieux ?

Détruire l'écologie au nom de la transition écologique ?

La circulation : passer encore des années de travaux sur un secteur déjà saturé aux heures d'affluence.

Nos enfants : faire passer une ligne haute tension à coté du Collège et des écoles de nos enfants, ce n'est pas anodin et un facteur aggravant de cancer.

La fiscalité : nos biens immobiliers seront dépréciés de 15 à 20% de leur valeur, du fait de la présence de cette usiné Seveso Seuil Haut sur la commune.

Pour tout ça je suis contre ce projet !
N° 25 : 15 decembre 2025 - 20:31
Auteur : Magalie PRE-AYMARD
Son avis : Défavorable
Je suis défavorable à ce projet qui va nuire à l'environnement et à la qualité de vie des communes environnantes
N° 24 : 15 decembre 2025 - 20:27
Auteur : Philippe Liquet
Son avis : Défavorable
Je suis choqué qu'une telle décision puisse être prise, comment dans une zone inondable peut-on prendre le risque d'installer une usine aussi dangereuse, j'espère que si cela devait quand même ce faire si jamais un jour il y avait un problème que les décisionnaires soient lourdement sanctionné. On ne peut pas pour des raisons mercantiles jouer avec la vie des populations
N° 23 : 15 decembre 2025 - 19:20
Auteur : Thomas DIONISI
Son avis : Favorable
Il est clairement d'intérêt public et économique que ce projet voit le jour. Outre les emplois créés, cela renforcera la capacité de notre territoire à s'affranchir de la dépendance actuelle sur ces technologies.
N° 22 : 15 decembre 2025 - 18:11
Auteur : Thibaud Pimbert
Son avis : Défavorable
Projet simplement aberrant en tout point,
N° 21 : 15 decembre 2025 - 18:05
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
Un projet qui me semble intéressant pour plusieurs raisons:
- Une industrie utile pour la transition environnementale, en particulier sur la mobilité.
- Un modèle pensé avec la circularité en ligne de mire, qui va offrir un débouché de revalorisation aux batteries de plus en plus nombreuses sur le marché (cf. Verkor)

Évidemment, un tel projet se doit d'être exemplaire dans sa conception, comme dans sa conduite.
Mais ils semblent y mettre beaucoup d'attention, et la mobilisation citoyenne aide à voir ses axes d'amélioration.
- Gestion des flux logistiques (report fluvial),
- Gestion et protection des ressources en eau, ...
N° 20 : 15 decembre 2025 - 17:49
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Ce projet est un beau montage financier permettant à terme d'échapper à l'impot. Contrairement à ce que disent le porteur de projet et les élus ce projet n'apportera quasiment rien voire rien aux caisse de l'état et ceci pour une raison simple: EMME est une filiale d'une société basée en Suisse et dont le president est la même personne que pour EMME. Ce montage en sommes basique permettra de faire de la société mére KL1 l'unique client de EMME. ainsi KL1, la société mère, achétera au cout de production les minerais rafinés par EMME qui de fait ne sera jamais voire très peu bénéficiaire et ainsi échappera à l'impot... KL1 pourra en complément ddu fait d'etre l'unique client faire en sorte que tous les salariés soient employés par la société mère et devenir des prestataires de EMME ce qui permettra encore de faire baisser le bénéfice de EMME en facturant la mise à disposition des salariés... Enfin si cela ne suffit pas KL1 pourra en plus demander EMME de lui verser une redevance pour avoir le droit de s'appeler EMME (procédé bien connu dans des sociétés ayant une filiale et que l'état connait car il a a de nombreux reprises portés ce genre d'affaires au tribunal). Je me demande si les élus ont des problèmes de compétence ou s'ils ont quelques intérets cachés pour soutenir un tel projet.
Ensuite l'état avec l'argent magique va injecter 150 millions pour créer 100 emplois... soit 1.5 millions par emploi crée... un peu de sérieux!!!
Enfin je ne parle pas du risque écologique d'une télle usine en bord d'un fleuve qui permet à plusieurs centaines de milliers de personnes de boire, manger, se laver gràace à l'eau de la Garonne. A une période où la ressource naturelle qu'est l'eau manque il est hallucinant de prendre un tel risque pour... créer 100 emplois!!! on marche sur la tête. Létat et l'ensemble des élus devront rendre des comptes et soyez en surs les citoyens et habitants concernés seront la pour les exiger!!!
N° 19 : 15 decembre 2025 - 17:29
Auteur : Marion Pimbert
Son avis : Défavorable
Je suis contre ce projet qui est une aberration écologique et économique.
D'un point de vue écologique, le nickel devient obsolète pour la fabrication des batteries et les minerais proviennent de l'autre bout du monde.
D'un point de vue environnemental, le site choisi est une zone marécageuse inondable qui serait comblée par des millions de tonnes de gravats (provenant d'Europe et de fonds marins) pour construire l'usine entraînant une perturbation sur les espèces locales, des produits chimiques manipulés à proximité des habitations est un énorme risque industriel.
Pollution visuelle, pollution lumineuse (usine allumée H24), pollution de l'air et de la zone.
N° 18 : 15 decembre 2025 - 16:00
Auteur : Julia Schindler
Son avis : Défavorable
Pourquoi ose-t-on même commencer à envisager un tel projet sur une zone innondable ?
1) Les zones innondables sont dangereuses pour les infrastructures et la viabilité du projet. C'est un gros risque économique.
2) Le changement climatique va rendre les zones innondables encore plus imprévisibles avec l'augmentation plus extrême des sécheresses et précipitations
3) Une usine comporte en plus le risque de pollution des cours d'eau qui sont des milieux très fragiles avec des fuites potentiels de composés dangereux. Qui voudra assurer une telle infrastructure ???
4) Les zones innondables comptent parmi les ressources les plus précieuses qu'il nous reste pour palier aux incertitudes du changement climatique : elles peuvent permettre de tamponer les crues, et en saison sèche d'augmenter les réserves d'eau des nappes, créant ainsi des zones anti-incendies, ce sont les zones avec les meilleures terres agricoles et/ou pour la production de bois. Une usine ici est un gaspillage outrancier d'une ressource de plus en plus précieuse : nos bonnes terres agricoles. Si cette usine doit permettre de faciliter la transition écologique, c'est totalement incohérent de détruire les meilleures zones de production de biomasse.
Ne pouvez-vous pas construire cette usine sur des mauvaises terres ?
N° 17 : 15 decembre 2025 - 15:10
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Le site retenu, en zone inondable dans l’estuaire de la Gironde, est totalement inadapté à l’accueil d’une usine classée Seveso seuil haut. Le risque de pollution en cas de crue est important, d’autant plus que 2 200 conteneurs de substances toxiques seraient stockés à proximité immédiate du fleuve.
N° 16 : 15 decembre 2025 - 15:09
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Aucun projet industriel de chimie lourde ne peut se dire « vertueux écologiquement » quand il se fonde sur l’artificialisation de 20 hectares de terres agricoles et d’espaces naturels en partie en zone Natura 2000.
N° 15 : 15 decembre 2025 - 15:08
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Le soutien technique et financier de l’État et de la Région Nouvelle Aquitaine pour appuyer la réindustrialisation ne doit pas se faire dans des conditions aussi risquées et aléatoires.
N° 14 : 15 decembre 2025 - 15:08
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Quand je lis des personnes favorables qui sortent l'argument de la souveraineté nationale alors que l'usine sera totalement dépendante des filières d’approvisionnement en minerais venant de l'étranger. Avec les conditions d'extraction que l'on connaît.
Deuxièmement ce projet résulte d'un montage financier dont le principal actionnaire est basé en Suisse.
Elle est belle votre souveraineté national.
Lobbystes, on vous voit!!!!
N° 13 : 15 decembre 2025 - 14:52
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
En une phrase: Ecologiquement dangereux et économiquement fragile.
Il faut démonter les discours mensonger des lobbystes favorables à ce projet.
N° 12 : 15 decembre 2025 - 14:40
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Ou est le détail des créations d'emplois direct et indirects?
Quel élu, quel citoyen même biberonné aux arguments des lobbystes peut croire aux chiffres annoncés?
STOP EMME!!!!
N° 11 : 15 decembre 2025 - 14:37
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Pojet EMME ou comment détruire l'estuaire, la nature et l'environnement grâce en partie à l'argent publique (15à millions d'euros)
N° 10 : 15 decembre 2025 - 14:30
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Bonjour,
Par quel lobbying intense le projet est passé d'intérêt national?
(Intérêt national décidé par le premier ministre démissionnaire quelques jours avant son départ)
De quel intérêt national on parle quand on évoque une usine destinée aux batteries de gros véhicules type SUV?
De quel intérêt national on parle en terme de consommation d'eau?
De quel intérêt national on parle quand on évoque une technologie utilisée par le site qui sera obsolète à très court terme?
Le lobbying intense du projet EMME au niveau national comme un niveau local doit être dénoncé et combattue.
Ce projet n'a d'intérêts que pour une minorité d'investisseurs privés.
Cdlt
N° 9 : 15 decembre 2025 - 14:19
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
Bonjour,
Ou en est le projet en ce qui concerne la demande en eau gigantesque de ce type d'usine?
Raccorder l'usine au réseau d'eau potable serait un très mauvais signe envoyer en terme de gestion durable de la ressource.
Le "plan b" qui consiste à alimenter l'usine avec de l'eau en sortie de station d'épuration est tout aussi illusoire puisqu'il oblige à alimenter le site par un flux de camion. Camions qui sont annoncés comme électriques comme belle démonstration de greenwashing.
Est ce qu'il est possible d'avoir plus d'informations concernant un possible forage privé en nappe sur ou à proximité du site?
Merci.
Un citoyen anonyme et concerné
N° 8 : 15 decembre 2025 - 13:48
Auteur : anonyme
Son avis : Favorable
c'est l'avenir
N° 7 : 15 decembre 2025 - 12:56
Auteur : Clément Zanolli
Son avis : Défavorable
La rhétorique d'EMME et de ses soutiens est basée sur un discours démagogique trompeur, impliquant qu'il s'agit d'un projet stratégique pour la transition écologique, ouvrant vers l'autonomie de la France pour la valorisation de matériaux soit-disant indispensables au développement des mobilités électriques et décarbonées, qui permettra de redynamiser l'industrie de la région bordelaise et d'offrir de nombreux emplois (entre 200 et 500 à l'échelle locale). Cependant, comment peut-on justifier l'implantation d'une usine Seveso seuil haut dans une zone humide et inondable en plein cœur d'une zone Natura 2000 et à proximité du Parc naturel régional du Médoc, soit disant au profit de la transition écologique ? La stratégie du gouvernement et de l'entreprise EMME pour l'écologie est donc de détruire une aire naturelle protégée pour implanter une raffinerie de matières polluantes et toxiques à quelques kilomètres de Bordeaux ? Le cobalt et le nickel sont tous deux classés comme cancérogènes par le Centre de Lutte contre le Cancer, même à petites doses et l'usine traiterait près de 100 000 tonnes de minerais (ce qui est loin d'être une petite quantité). Même en admettant que les conditions de sécurité soient optimales, les risques liés à des catastrophes naturelles (crues exceptionnelles, tremblement de terre, tornades...) existent et il est quasi-impossible de s'en prémunir (il n'y a qu'à voir Fukushima...). Les risques de fuites dans l'environnement (avec la Garonne à proximité pouvant agir comme agent de diffusion) et de contamination des nappes phréatiques et terrains environnants sont bien réels et la catastrophe écologique est prévisible à plus ou moins court terme, que ce soit pour la faune, la flore ou les populations environnantes, mais aussi pour les régions localisées sur le trajet du transport du minerai en cas d'accident (ou l'océan en cas de naufrage). Il faut aussi se demander quelles sont les conditions d'exploitation du nickel et du cobalt dans les pays d'où ils proviennent. Ce sont des métaux rares, et comme leur nom l'indique, il faut raser de grandes surfaces de végétation et creuser des volumes de terre gigantesques pour trouver quelques rares filons de minerais. L'exploitation du cobalt et du nickel implique donc la destruction de forêts et d'écosystèmes entiers, ainsi que l'éradication d'une biodiversité souvent unique dans les milieux tropicaux où ces métaux sont trouvés. L'exploitation du nickel et du cobalt, telle qu'elle est pratiquée actuellement, conduit également à une stérilisation totale des sols empêchant toute revégétalisation ultérieure, et donc à la mort des sols et des écosystèmes. En d'autres termes, est-il raisonnable, au nom d'une soit disant 'stratégie de transition écologique', de sacrifier des régions entières (à l'étranger comme en France) ? Soyons francs, l'objectif n'est absolument pas de produire une économie d'avenir plus écologique, mais simplement une économie capitaliste du moment, sans penser à l'impact futur (potentiellement assez proche). Finalement, quel est l'intérêt de construire une raffinerie de nickel et de cobalt, matériaux dangereux et polluants, qui seront probablement abandonnés d'ici peu en raison de leur rareté, de leur coût et de leur nocuité, alors que des batteries plus écologiques sont en développement (sodium-ion, metal-ion à base de graphène et d’aluminium...) ? Si l'on parle de transition écologique, alors des ressources énergétiques non polluantes devraient être utilisées. Est-ce que tous ces risques valent le possible emploi de 200 à 500 personnes, nécessitant notamment le recrutement de nombreux experts et personnes qualifiées non-locaux, qui ne bénéficiera donc que très peu aux habitants de la région en recherche d'emploi. Ce projet est une aberration totale du point de vue écologique et doit être interrompu au plus vite. Il faut rediriger nos ressources et nos efforts vers la recherche et le développement de technologies et de solutions véritablement écologiques, c'est-à-dire sans impact pour l'environnement et les populations humaines, durables et renouvelables, ce qui aura également des retombés sur l'emploi, l'économie et la société, mais de manière positive et sur le long terme.
N° 6 : 15 decembre 2025 - 12:28
Dépôt par mail
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Mail receptionné le 15/12/2025 à 10:40
Pièce jointe : Projet EMME.pdf
N° 5 : 15 decembre 2025 - 12:22
Auteur : Clément Zanolli
Son avis : Défavorable
La rhétorique d'EMME et de ses soutiens est basée sur un discours démagogique trompeur, impliquant qu'il s'agit d'un projet stratégique pour la transition écologique, ouvrant vers l'autonomie de la France pour la valorisation de matériaux soit-disant indispensables au développement des mobilités électriques et décarbonées, qui permettra de redynamiser l'industrie de la région bordelaise et d'offrir de nombreux emplois (entre 200 et 500 à l'échelle locale). Cependant, comment peut-on justifier l'implantation d'une usine Seveso seuil haut dans une zone humide et inondable en plein cœur d'une zone Natura 2000 et à proximité du Parc naturel régional du Médoc, soit disant au profit de la transition écologique ? La stratégie du gouvernement et de l'entreprise EMME pour l'écologie est donc de détruire une aire naturelle protégée pour implanter une raffinerie de matières polluantes et toxiques à quelques kilomètres de Bordeaux ? Le cobalt et le nickel sont tous deux classés comme cancérogènes par le Centre de Lutte contre le Cancer, même à petites doses et l'usine traiterait près de 100 000 tonnes de minerais (ce qui est loin d'être une petite quantité). Même en admettant que les conditions de sécurité soient optimales, les risques liés à des catastrophes naturelles (crues exceptionnelles, tremblement de terre, tornades...) existent et il est quasi-impossible de s'en prémunir (il n'y a qu'à voir Fukushima...). Les risques de fuites dans l'environnement (avec la Garonne à proximité pouvant agir comme agent de diffusion) et de contamination des nappes phréatiques et terrains environnants sont bien réels et la catastrophe écologique est prévisible à plus ou moins court terme, que ce soit pour la faune, la flore ou les populations environnantes, mais aussi pour les régions localisées sur le trajet du transport du minerai en cas d'accident (ou l'océan en cas de naufrage). Il faut aussi se demander quelles sont les conditions d'exploitation du nickel et du cobalt dans les pays d'où ils proviennent. Ce sont des métaux rares, et comme leur nom l'indique, il faut raser de grandes surfaces de végétation et creuser des volumes de terre gigantesques pour trouver quelques rares filons de minerais. L'exploitation du cobalt et du nickel implique donc la destruction de forêts et d'écosystèmes entiers, ainsi que l'éradication d'une biodiversité souvent unique dans les milieux tropicaux où ces métaux sont trouvés. L'exploitation du nickel et du cobalt, telle qu'elle est pratiquée actuellement, conduit également à une stérilisation totale des sols empêchant toute revégétalisation ultérieure, et donc à la mort des sols et des écosystèmes. En d'autres termes, est-il raisonnable, au nom d'une soit disant 'stratégie de transition écologique', de sacrifier des régions entières (à l'étranger comme en France) ? Soyons francs, l'objectif n'est absolument pas de produire une économie d'avenir plus écologique, mais simplement une économie capitaliste du moment, sans penser à l'impact futur (potentiellement assez proche). Finalement, quel est l'intérêt de construire une raffinerie de nickel et de cobalt, matériaux dangereux et polluants, qui seront probablement abandonnés d'ici peu en raison de leur rareté, de leur coût et de leur nocuité, alors que des batteries plus écologiques sont en développement (sodium-ion, metal-ion à base de graphène et d’aluminium...) ? Si l'on parle de transition écologique, alors des ressources énergétiques non polluantes devraient être utilisées. Est-ce que tous ces risques valent le possible emploi de 200 à 500 personnes, nécessitant notamment le recrutement de nombreux experts et personnes qualifiées non-locaux, qui ne bénéficiera donc que très peu aux habitants de la région en recherche d'emploi. Ce projet est une aberration totale du point de vue écologique et doit être interrompu au plus vite. Il faut rediriger nos ressources et nos efforts vers la recherche et le développement de technologies et de solutions véritablement écologiques, c'est-à-dire sans impact pour l'environnement et les populations humaines, durables et renouvelables, ce qui aura également des retombés sur l'emploi, l'économie et la société, mais de manière positive et sur le long terme.
N° 4 : 15 decembre 2025 - 11:24
Auteur : BERNARD ELIE
Son avis : Favorable
Le projet EMME est un projet qui contribuera à l'indépendance et à la souveraineté de la France et de l'Europe.
Le marché des véhicules électriques est aujourd'hui dans les mains de la Chine qui a 10 ans d'avance sur l'Europe et les Etats Unis.
Il est impératif que la France et l'Europe se dotent des outils qui leur garantira une indépendance dans la chaine d'approvisionnement des composants des batteries.
J'ai travaillé 4 ans dans le complexe minier et métallurgique de l'usine du sud en Nouvelle Calédonie comme membre de la direction générale en charge de l'activité Corporate. En 2019 nous avons pris la décision d'orienter cette usine vers la production d'un co-précipité de nickel et de cobalt (le NHC pour Nickel Hydroxyde Cake), duquel il est possible d'extraire des sulfates qui vont entrer dans la composition des cathodes pour les batteries.
Cette étape ultime de raffinage est actuellement effectuée en Asie et le projet EMME a pour vocation d'effectuer ces opérations sur le territoire Européen afin d'alimenter les usines européennes et notamment les gigafactories du nord de la France.
Le choix du site de GRATTEQUINA est pertinent car il s'agit d'un site qui était dédié à une activité industrielle, laquelle n'a pas vu le jour dans les années 2010 (pales d'éoliennes). En bordure de Garonne et avec un quai existant le site permet d'envisager une logistique décarbonée tant en amont qu'en aval de la production, ce qui représentera un atout supplémentaire majeur pour les constructeurs européens de véhicules éléctriques, notamment premium.
Enfin le projet sera inclus dans un ecosystème néo-aquitain tourné vers l'avenir et permettra la création d'emplois qualifiés tout en développant un pôle de recherche innovant.
Au sein d'une Europe un peu désorientée, la France a la chance de disposer, avec la Nouvelle Calédonie, d'une réserve majeure de Nickel (et donc de Cobalt) un minerai absolument nécessaire aux nouvelles technologies. EMME permettra à la France d'asseoir sa souveraineté sur un sujet majeur des 15 prochaines années
N° 3 : 15 decembre 2025 - 09:37
Auteur : anonyme
Son avis : Défavorable
je suis contre
N° 2 : 15 decembre 2025 - 08:24
Auteur : Jean-Marc Farthouar
Son avis : Défavorable
Ce projet vise à l’indépendance énergétique de la France comment vous croire sachant que les matières brutes viennent de pays lointains à plus de 10000km dont l’Indonésie non certifiée IRMA victime d’aléas climatique .
Le Cobait dans quelques années n’existera plus en tant que minerai mais uniquement en produits recyclable sera t il suffisant pour alimenter la production de batteries NMC
Mais ces matériaux vont ils constituer la base des batteries montées sur les véhicules par exemple les batteries LFP sont montées sur la future Renault 5
Tous les produits utilisés sur le sites les entrants les sortants les produits nécessaires à la fabrication sont miscibles dans l’eau et le risque de pollution des eaux de la Garonne sont la d’autant plus que le trafic sera exclusivement maritime
N° 1 : 15 decembre 2025 - 07:00
Auteur : Sylvie PEREZ
Organisation : Association Préservons Notre Paysage Urbain
Son avis : Défavorable
Objet du dossier
Ce dossier vise à démontrer que le projet est juridiquement illégal, car il prévoit une construction nouvelle en zone non urbanisée, située en zone d’expansion de crue, dans le lit majeur de la Garonne, ce qui est explicitement interdit par l’ensemble des textes applicables, quels que soient le niveau d’aléa ou les artifices de qualification utilisés.
1 Un principe juridique constant :
On ne construit pas en zone d’expansion de crue
« Tous les textes, sans exception, tiennent le même discours : les zones d’expansion de crue doivent être préservées et soustraites à l’urbanisation. »
Ce principe se retrouve :
• dans le Code de l’environnement,
• dans les PPRI,
• dans les SCoT et documents d’urbanisme,
• dans la doctrine administrative de l’État,
• et dans la jurisprudence.
Décret no 2019-715 du 5 juillet 2019 relatif aux plans de prévention des risques concernant les «aléas débordement de cours d’eau et submersion marine»
Publics concernés: tout public.
« Art. R. 562-11-6. – Le règlement détermine notamment les limitations au droit de construire dans les zones définies par le plan de prévention des risques. Pour ce qui concerne les constructions nouvelles, les limitations au droit de construire prévues au 3o de l’article R. 562-3 sont les suivantes:

– Dans les zones non urbanisées, dans les zones d’aléas de référence faible, modéré, fort ou très fort, le règlement du plan de prévention des risques interdit toute construction nouvelle; «Toutefois, dans les zones d’aléas de référence faible ou modéré, des exceptions peuvent être autorisées si elles répondent aux conditions définies à l’article R. 562-11-7; le règlement du plan de prévention des risques impose alors des prescriptions.

Art. R. 562-11-7. – 1o Peuvent faire l’objet d’une exception, mentionnée à l’article R. 562-11-6, les demandes répondant aux conditions suivantes: «Le secteur, objet de la demande d’exception, est porteur d’un projet d’aménagement: « – qui est essentiel pour le bassin de vie, «et « – qui est sans solution d’implantation alternative à l’échelle du bassin de vie, ou pour lequel les éventuelles solutions d’implantations alternatives à l’échelle du bassin de vie présentent des inconvénients supérieurs à ceux résultant des effets de l’aléa de référence. «Si le secteur objet de la demande d’exception est situé dans une zone non urbanisée, les constructions nouvelles dans ce secteur sont compensées par la démolition de l’ensemble d’une zone urbanisée existante située dans les zones d’aléa de référence de niveau plus important, permettant ainsi de réduire la vulnérabilité globale.

Ce n’est pas une règle optionnelle, ni une règle modulable selon l’intérêt économique d’un projet.
2 Le site concerné est une zone non urbanisée
Point fondamental du dossier : « Le terrain concerné n’est pas urbanisé, au sens juridique du terme. »
La jurisprudence est constante : « Une zone reste non urbanisée tant qu’elle ne présente pas un tissu bâti continu et structuré. »

3 L’aléa (faible, moyen ou fort) ne change rien
Quel que soit le niveau d’aléa, la règle reste la même :
les zones d’expansion de crue ne sont pas constructibles en zone non urbanisée.
• l’administration tente de déplacer le débat sur le niveau d’aléa,
• alors que le vrai critère juridique est la fonction hydraulique du site.
Une zone d’expansion de crue située en zone non urbanisée est protégée par principe, pas seulement quand l’aléa est fort.

4 Les textes se recoupent tous : aucune divergence
• Aucun texte ne prévoit d’exception générale pour l’industrie,
• Aucun texte n’autorise une construction nouvelle en ZEC,
• Aucun texte ne permet de contourner cette interdiction par des mesures compensatoires.
Les mesures compensatoires ne rendent pas un projet légal quand il est interdit par principe.
5 Préserver la zone, ce n’est pas une option écologique :
C’est une obligation légale
• les zones d’expansion de crue sont des outils de protection collective,
• leur artificialisation augmente mécaniquement le risque en aval et en amont.
• la logique du droit est préventive, pas corrective.
On ne “gère” pas une zone d’expansion de crue par des ouvrages :
on la préserve.
6 Conclusion
« Mon dossier ne porte pas sur l’opportunité du projet, ni sur son intérêt économique.
Il démontre simplement que, au regard du droit en vigueur, ce projet ne peut pas être autorisé, car il prévoit une construction nouvelle en zone non urbanisée, située en zone d’expansion de crue, ce qui est interdit par l’ensemble des textes applicables. »
« Avant même de discuter des incertitudes techniques ou des choix politiques, il faut d’abord répondre à cette question simple :
a-t-on le droit de construire ici ?
Et la réponse juridique est non. »
Bonne lecture
Pièce jointe : 950_num1.pdf